Abi
The Turkish
On pouvait déjà téléphoner de PC à PC via l'internet. Appeler des numéros classiques est maintenant également possible avec « SkypeOut ».
Les spécialistes emploient l'expression « Voice over Internet Protocol » (ou, en abrégé, « VoiP »). Pour le commun des mortels, il s'agit plus simplement de téléphonie via Internet : deux utilisateurs communiquent vocalement au départ d'une connexion large bande (de préférence), qu'elle utilise la technologie ADSL ou le câble.
L'intérêt se situe d'abord au niveau du coût : la voix étant numérisée, téléphoner via Internet revient à transférer des données numériques entre deux postes, quelle que soit la distance. Restait à trouver le logiciel qui allait rendre la procédure suffisamment simple pour convaincre un maximum d'adeptes. Plusieurs solutions existent mais c'est l'arrivée de Skype, au début de l'été 2003, qui a tout accéléré.
Le fonctionnement du logiciel, disponible gratuitement tant pour MacOS et Linux que pour Windows (http : //www.skype.com), est très simple : après téléchargement et installation, l'internaute se choisit un mot de passe et un nom d'utilisateur. Il communique ensuite ce dernier à ses connaissances. Skype fonctionne comme un système de messagerie instantanée. Un contact se connecte sur Internet ? Son nom s'illumine dans la liste approuvée par l'utilisateur. Il peut lui envoyer un message écrit ou lui parler. Il suffit pour cela de double-cliquer sur son nom. Le correspondant entendra une sonnerie de téléphone retentissant du haut-parleur de son PC et il débutera la conversation en cliquant sur l'icône « Décrocher ». Si un casque-micro est vivement conseillé, le niveau de son offert est remarquable : en dépit de petites coupures occasionnelles, la qualité permise par Skype est globalement supérieure à ce qu'une ligne fixe propose. La communication ne coûte rien, que les correspondants soient voisins ou situés aux antipodes. Cela ne fait pas l'affaire des opérateurs dont certains voudraient voir ce genre de service « réglementé ». Dame : selon le bureau Gartner, 17 % des lignes téléphoniques d'Amérique du Nord devraient être remplacées par des solutions VoiP d'ici à 2008. On l'a dit, la formule est économique.
Mais pour ceux qui seraient tentés de supprimer leur abonnement téléphonique traditionnel au profit d'une formule de ce type, rappelons qu'elle est tributaire du réseau : en cas de panne chez le fournisseur d'accès à Internet, par exemple, plus de communication téléphonique possible...
En un an et demi, Skype a été téléchargé par près de 32 millions d'utilisateurs. Ce qui encourage maintenant ses deux inventeurs à passer à la vitesse supérieure. Jusqu'à présent, le logiciel ne permettait des échanges téléphoniques qu'entre deux ordinateurs. Désormais, via « SkypeOut », il devient possible d'appeler n'importe quel numéro de téléphone dans le monde (ligne fixe ou GSM). Si Skype est d'un usage gratuit, les communications effectuées au départ de « SkypeOut » sont payantes. Mais globalement moins coûteuses que l'offre traditionnelle.
Peu importe l'endroit d'où on appelle, c'est celui où se trouve l'appelé qui détermine le coût de la communication via « SkypeOut ». La minute de bavardage avec un poste fixe en France, en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis revient par exemple à 0,02 euro, TVA comprise, quelle que soit l'heure d'appel. À titre de comparaison, le tarif de Belgacom pour ces mêmes destinations varie entre 0,0936 euro et 0,1873 euro.
La vitesse avec laquelle Skype a conquis de nouveaux adeptes a pris de court plusieurs initiatives visant, elles aussi, à offrir aux internautes privés et professionnels des services de « voice over IP ». Et elle a encouragé divers fabricants de matériel à commercialiser des accessoires dédiés à cet usage. À côté des casques-micros proposés par de nombreuses marques, Siemens a par exemple mis sur le marché une clé USB (Gigaset M34 USB ; 99 euros) apte à relayer le son d'une communication effectuée via Skype vers un central sans fil (Dect) de la marque (Gigaset C340, S440 ou S695). Objectif de la formule : permettre à l'utilisateur de retrouver ses habitudes d'antan et lui faire oublier qu'il téléphone via Internet...
source: www.lesoir.be
les prix on l air fort interessant, pour le moment le site a l air mort mais des qu ils fonctionnent je vais tester ca
Les spécialistes emploient l'expression « Voice over Internet Protocol » (ou, en abrégé, « VoiP »). Pour le commun des mortels, il s'agit plus simplement de téléphonie via Internet : deux utilisateurs communiquent vocalement au départ d'une connexion large bande (de préférence), qu'elle utilise la technologie ADSL ou le câble.
L'intérêt se situe d'abord au niveau du coût : la voix étant numérisée, téléphoner via Internet revient à transférer des données numériques entre deux postes, quelle que soit la distance. Restait à trouver le logiciel qui allait rendre la procédure suffisamment simple pour convaincre un maximum d'adeptes. Plusieurs solutions existent mais c'est l'arrivée de Skype, au début de l'été 2003, qui a tout accéléré.
Le fonctionnement du logiciel, disponible gratuitement tant pour MacOS et Linux que pour Windows (http : //www.skype.com), est très simple : après téléchargement et installation, l'internaute se choisit un mot de passe et un nom d'utilisateur. Il communique ensuite ce dernier à ses connaissances. Skype fonctionne comme un système de messagerie instantanée. Un contact se connecte sur Internet ? Son nom s'illumine dans la liste approuvée par l'utilisateur. Il peut lui envoyer un message écrit ou lui parler. Il suffit pour cela de double-cliquer sur son nom. Le correspondant entendra une sonnerie de téléphone retentissant du haut-parleur de son PC et il débutera la conversation en cliquant sur l'icône « Décrocher ». Si un casque-micro est vivement conseillé, le niveau de son offert est remarquable : en dépit de petites coupures occasionnelles, la qualité permise par Skype est globalement supérieure à ce qu'une ligne fixe propose. La communication ne coûte rien, que les correspondants soient voisins ou situés aux antipodes. Cela ne fait pas l'affaire des opérateurs dont certains voudraient voir ce genre de service « réglementé ». Dame : selon le bureau Gartner, 17 % des lignes téléphoniques d'Amérique du Nord devraient être remplacées par des solutions VoiP d'ici à 2008. On l'a dit, la formule est économique.
Mais pour ceux qui seraient tentés de supprimer leur abonnement téléphonique traditionnel au profit d'une formule de ce type, rappelons qu'elle est tributaire du réseau : en cas de panne chez le fournisseur d'accès à Internet, par exemple, plus de communication téléphonique possible...
En un an et demi, Skype a été téléchargé par près de 32 millions d'utilisateurs. Ce qui encourage maintenant ses deux inventeurs à passer à la vitesse supérieure. Jusqu'à présent, le logiciel ne permettait des échanges téléphoniques qu'entre deux ordinateurs. Désormais, via « SkypeOut », il devient possible d'appeler n'importe quel numéro de téléphone dans le monde (ligne fixe ou GSM). Si Skype est d'un usage gratuit, les communications effectuées au départ de « SkypeOut » sont payantes. Mais globalement moins coûteuses que l'offre traditionnelle.
Peu importe l'endroit d'où on appelle, c'est celui où se trouve l'appelé qui détermine le coût de la communication via « SkypeOut ». La minute de bavardage avec un poste fixe en France, en Grande-Bretagne ou aux Etats-Unis revient par exemple à 0,02 euro, TVA comprise, quelle que soit l'heure d'appel. À titre de comparaison, le tarif de Belgacom pour ces mêmes destinations varie entre 0,0936 euro et 0,1873 euro.
La vitesse avec laquelle Skype a conquis de nouveaux adeptes a pris de court plusieurs initiatives visant, elles aussi, à offrir aux internautes privés et professionnels des services de « voice over IP ». Et elle a encouragé divers fabricants de matériel à commercialiser des accessoires dédiés à cet usage. À côté des casques-micros proposés par de nombreuses marques, Siemens a par exemple mis sur le marché une clé USB (Gigaset M34 USB ; 99 euros) apte à relayer le son d'une communication effectuée via Skype vers un central sans fil (Dect) de la marque (Gigaset C340, S440 ou S695). Objectif de la formule : permettre à l'utilisateur de retrouver ses habitudes d'antan et lui faire oublier qu'il téléphone via Internet...
source: www.lesoir.be
les prix on l air fort interessant, pour le moment le site a l air mort mais des qu ils fonctionnent je vais tester ca