H
HaYa_BuSa
ex membre
Le succès du manga/dessin-animé a entraîné ce navet insondablement creux, un chef-d'oeuvre de la série Z que tout amateur de nanar se doit de posséder dans sa collection.
Si vous avez envie de rire, il vous le faut à tout prix
Titre : Dragon Ball The Magic Begins
Titre original : Dragon Pearl
Réalisation : Joe Chan
Acteurs : Ruby Tse, Paul Kam, Don Wong, Annie Lai, Eddie Chan
Durée : 1H25
Date de sortie : 1989
Résumé :
Le garçon singe (Sangoku) coule des jours paisibles auprès de son grand-père Spark (Sangohan), apprenant le kung-fu tout en protégeant une des sept boules magiques. Ces mystérieux objets, une fois réunis, sont capables d'invoquer le dragon sacré qui exaucera un souhait à celui qui l'a réveillé, ce qui explique pourquoi le machiavélique Roi Cornu (Pilaf) et son armée cherchent par tous les moyens à se les approprier...
Vous remarquerez que les noms ont été changés car il est tout à fait probable que l'équipe du film n'ait pu réussir à obtenir les droits de l'enseigne Dragon Ball.
Voici quelques images:
Le roi cornu qui est censé ressemblé à Pilaf... :?
Les superbes boules de cristal
Le plus réussi, Olong en pleine transformation (non non je rigole pas)
Westwood (Yamcha), de pire en pire
L'enfant singe (Sangoku)
De gauche à droite: Yamcha, Tortue Géniale, Olong et Bulma
Une petite vidéo ICI (et là c'est pas le pire)
L'incontestable ne peut être contesté : quelqu'un a tenté de produire cette adaptation avec des moyens plus que réduits et la technologie des années 80 (le film date de 1989). Je vous laisse imaginer ce que peut donner le bâton magique ou le nuage supersonique, sans oublier le dragon sacré (mdr j'en rit encore). Mais le pire reste à venir, le choix des acteurs... Aucun ne ressemble véritablement au personnage qu'il est censé incarner, la palme revenant à WestWood (= Yamcha) fagoté d'un costume blanchâtre faisant plus penser à un épisode de sentaï. Un seul d'entre eux parvient pourtant à s'extraire de la navrante médiocrité du casting, il s'agit de Tortue Géniale. La démarche dandinante, la carapace de tortue fièrement accrochée à son dos, et l'oeil très perçant dès qu'il s'agit d'attributs féminins, le maître se reconnaît et se targue d'être également la principale attraction justifiée du film, sans vraiment croire ce que je viens d'écrire. Je vous laisse découvrir de vous-même la qualité des effets visuels et la dynamique du scénario, sans parler de son humour, et un tas d'autres petits éléments qui n'auront même pas le pouvoir de masquer l'horreur plus de cinq minutes.
Si vous avez envie de rire, il vous le faut à tout prix
Titre : Dragon Ball The Magic Begins
Titre original : Dragon Pearl
Réalisation : Joe Chan
Acteurs : Ruby Tse, Paul Kam, Don Wong, Annie Lai, Eddie Chan
Durée : 1H25
Date de sortie : 1989
Résumé :
Le garçon singe (Sangoku) coule des jours paisibles auprès de son grand-père Spark (Sangohan), apprenant le kung-fu tout en protégeant une des sept boules magiques. Ces mystérieux objets, une fois réunis, sont capables d'invoquer le dragon sacré qui exaucera un souhait à celui qui l'a réveillé, ce qui explique pourquoi le machiavélique Roi Cornu (Pilaf) et son armée cherchent par tous les moyens à se les approprier...
Vous remarquerez que les noms ont été changés car il est tout à fait probable que l'équipe du film n'ait pu réussir à obtenir les droits de l'enseigne Dragon Ball.
Voici quelques images:

Le roi cornu qui est censé ressemblé à Pilaf... :?

Les superbes boules de cristal

Le plus réussi, Olong en pleine transformation (non non je rigole pas)

Westwood (Yamcha), de pire en pire

L'enfant singe (Sangoku)

De gauche à droite: Yamcha, Tortue Géniale, Olong et Bulma
Une petite vidéo ICI (et là c'est pas le pire)
L'incontestable ne peut être contesté : quelqu'un a tenté de produire cette adaptation avec des moyens plus que réduits et la technologie des années 80 (le film date de 1989). Je vous laisse imaginer ce que peut donner le bâton magique ou le nuage supersonique, sans oublier le dragon sacré (mdr j'en rit encore). Mais le pire reste à venir, le choix des acteurs... Aucun ne ressemble véritablement au personnage qu'il est censé incarner, la palme revenant à WestWood (= Yamcha) fagoté d'un costume blanchâtre faisant plus penser à un épisode de sentaï. Un seul d'entre eux parvient pourtant à s'extraire de la navrante médiocrité du casting, il s'agit de Tortue Géniale. La démarche dandinante, la carapace de tortue fièrement accrochée à son dos, et l'oeil très perçant dès qu'il s'agit d'attributs féminins, le maître se reconnaît et se targue d'être également la principale attraction justifiée du film, sans vraiment croire ce que je viens d'écrire. Je vous laisse découvrir de vous-même la qualité des effets visuels et la dynamique du scénario, sans parler de son humour, et un tas d'autres petits éléments qui n'auront même pas le pouvoir de masquer l'horreur plus de cinq minutes.