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Namlao
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A l’aube de son 10è anniversaire, le festival Esperanzah! s’ancre plus que jamais dans la commune de Floreffe. Terre d’accueil du festival, Floreffe devient dès ce 1er avril, la terre d’accueil des bureaux de l’asb « Z, les Amis d’Esperanzah! ».
Dix ans de musique déjà. Et pour cette édition spéciale 10 ans, Esperanzah! veut étonner avec une programmation audacieuse et prometteuse. Pour la première fois, le festival a réinvité certains artistes qui on fait leurs débuts en Belgique à Esperanzah!, qui avaient déjà conquis le public lors de précédentes éditions, et/ou qui viennent présenter leurs nouveaux projets à l’occasion du 10è anniversaire. Le festival a aussi invité certains artistes symboliques par leurs combats et leurs engagements. Et il y aura aussi et comme chaque année, de belles découvertes.
Quand le producteur du label « World Cricuit » donne vie à ses rêve, ça donne Afrocubism, un projet qui réunit la crème des musiciens maliens (Toumani Diabate, Lassana, Kassé Mady Diabaté, Djelimady Tounkara, Bassekou Kouyaté (*)) et cubains (Eliades Ochoa (**) et son band). Ensemble, ils inventent un espéranto qui redonne l’espoir.
(*) Le prince des cordes, Bassekou Kouyaté et ses musiciens du « Ngoni Ba » nous ont câliné de leurs rythmes enchantés lors de leur venue en 2009.
(**) Le cow-boy solitaire du Buena Vista Social Club et son band ont littéralement triomphé clôturant la soirée du samedi soir en 2003.
Fleuron de la nouvelle scène colombienne, Bomba Esteréo livre un son qui dépote : entre électro, cumbia, ragga et hip hop, affirmant une identité bien trempée, attachée à ses racines comme à son ouverture sur le monde. Une personnalité à l’image de Li Saumet, la voix charismatique de Bomba Estereo.
Professor n’est autre qu’Harrison Stafford, le talentueux chanteur du groupe Groundation révélé à Esperanzah! en 2007. A la mi-avril, Professor sortira un premier opus solo inspiré par un poète arabe rencontré à Ramallah et par des méditations nocturnes à travers les villes de Jerusalem-Sheik Jarrah, Hebron, Jericho, Nablux, et Qalqiliya. Un album dans lequel il lance un message de paix à ses frères israélo-palestiniens. Il sera accompagné sur scène par la crème des musiciens jamaïcains : Leroy « Horsemouth » Wallace (batterie), Earl “Flabba holt” Carter (basse), Lloyd « Obeah » Denton (clavier) et Dalton Browne (guitare).
Venues en 2003, les chanteuses de Ialma seront au rendez-vous avec un nouveau projet. Ces 5 galiciennes d'origine partagent leur culture, les chansons traditionnelles glanées auprès des anciens et les ré-arrangent grâce à la complicité des musiciens belges qui les entourent. Sur scène, c'est une énergie festive qu'il se dégage de cette mixité culturelle, tout en ne négligeant pas l'émotion !"
Après avoir mis le feu côté cour en 2005, La Phaze, la bombe du pungel revient à Esperanzah! avec une pêche révolutionnaire. Le groupe breton aux influences multiples défendra son quatrième et dernier opus « Psalms and Revolution ». Un album qui confirme que les ingrédients phares de son cocktail détonant sont toujours à l'oeuvre, depuis les puissants riffs toujours taillés dans la vénération du punk rock jusqu'au ragga survolté.
Les Ogres de Barback : Fers de lance de la chanson française indépendante depuis plus seize ans, les 4 frères et soeurs reviennent - ils étaient là en 2003 -, avec leurs musiques inclassables aux multiples influences. Passeurs d'univers attachants et tolérants, ils rendent hommage aux humbles, aux petits et à leurs
destins cabossés. Sur scène, ils parcourront leur carnet de route et partageront leur méditation sur l’état du monde à travers les titres de leur dernier opus « Comment je suis devenu voyageur » sorti début mars 2011.
Vous avez aimé Caravan Palace, vous allez adorer Parov Stelar Band ! Le roi du swing électro, pionnier du genre, vient pour la première fois dans un festival en Belgique et qui plus est, pour une date exclusive ! Le DJ autrichien au sens aiguisé de l’esthétisme du son revient avec « The Paris Swing Box », un nouvel opus travaillé d’une main de maître, et sorti sous son propre label, Etage Noir.
Les Têtes Raides reviennent au devant de la scène avec des musiques poético-réalistes empreintent d’une douceur à faire tourner la tête. Fidèles à leurs idéaux, ils mêlent poésie et humour noir, esprit de fête et appel à la mobilisation des esprits.
Les Belgotronics du groupe bruxellois Hoquets s’inspirent des Congotronics (Konono N°1, Kasai Allstars et Staff Benda Bilili). Le reggae à l’énergie rock des australiens Blue King Brown est impulsé par le groove et la voix puissante de la ravissante chanteuse Natalie Pa’apa’a. La fanfare la plus déjantée de nos voisins nordiques, Amsterdam Klezmer Band, proposera son mélange explosif de klezmer et de musiques balkaniques. Le cabaret musical d’OqueStrada a osé briser les lois du fado et du folklore portugais, alors que la soul, le gospel et le funk de Sharon Jones & the Dap-Kings nous emmèneront vers le berceau des musiques blacks aux States, Brooklyn.
Dix ans de musique déjà. Et pour cette édition spéciale 10 ans, Esperanzah! veut étonner avec une programmation audacieuse et prometteuse. Pour la première fois, le festival a réinvité certains artistes qui on fait leurs débuts en Belgique à Esperanzah!, qui avaient déjà conquis le public lors de précédentes éditions, et/ou qui viennent présenter leurs nouveaux projets à l’occasion du 10è anniversaire. Le festival a aussi invité certains artistes symboliques par leurs combats et leurs engagements. Et il y aura aussi et comme chaque année, de belles découvertes.
Quand le producteur du label « World Cricuit » donne vie à ses rêve, ça donne Afrocubism, un projet qui réunit la crème des musiciens maliens (Toumani Diabate, Lassana, Kassé Mady Diabaté, Djelimady Tounkara, Bassekou Kouyaté (*)) et cubains (Eliades Ochoa (**) et son band). Ensemble, ils inventent un espéranto qui redonne l’espoir.
(*) Le prince des cordes, Bassekou Kouyaté et ses musiciens du « Ngoni Ba » nous ont câliné de leurs rythmes enchantés lors de leur venue en 2009.
(**) Le cow-boy solitaire du Buena Vista Social Club et son band ont littéralement triomphé clôturant la soirée du samedi soir en 2003.
Fleuron de la nouvelle scène colombienne, Bomba Esteréo livre un son qui dépote : entre électro, cumbia, ragga et hip hop, affirmant une identité bien trempée, attachée à ses racines comme à son ouverture sur le monde. Une personnalité à l’image de Li Saumet, la voix charismatique de Bomba Estereo.
Professor n’est autre qu’Harrison Stafford, le talentueux chanteur du groupe Groundation révélé à Esperanzah! en 2007. A la mi-avril, Professor sortira un premier opus solo inspiré par un poète arabe rencontré à Ramallah et par des méditations nocturnes à travers les villes de Jerusalem-Sheik Jarrah, Hebron, Jericho, Nablux, et Qalqiliya. Un album dans lequel il lance un message de paix à ses frères israélo-palestiniens. Il sera accompagné sur scène par la crème des musiciens jamaïcains : Leroy « Horsemouth » Wallace (batterie), Earl “Flabba holt” Carter (basse), Lloyd « Obeah » Denton (clavier) et Dalton Browne (guitare).
Venues en 2003, les chanteuses de Ialma seront au rendez-vous avec un nouveau projet. Ces 5 galiciennes d'origine partagent leur culture, les chansons traditionnelles glanées auprès des anciens et les ré-arrangent grâce à la complicité des musiciens belges qui les entourent. Sur scène, c'est une énergie festive qu'il se dégage de cette mixité culturelle, tout en ne négligeant pas l'émotion !"
Après avoir mis le feu côté cour en 2005, La Phaze, la bombe du pungel revient à Esperanzah! avec une pêche révolutionnaire. Le groupe breton aux influences multiples défendra son quatrième et dernier opus « Psalms and Revolution ». Un album qui confirme que les ingrédients phares de son cocktail détonant sont toujours à l'oeuvre, depuis les puissants riffs toujours taillés dans la vénération du punk rock jusqu'au ragga survolté.
Les Ogres de Barback : Fers de lance de la chanson française indépendante depuis plus seize ans, les 4 frères et soeurs reviennent - ils étaient là en 2003 -, avec leurs musiques inclassables aux multiples influences. Passeurs d'univers attachants et tolérants, ils rendent hommage aux humbles, aux petits et à leurs
destins cabossés. Sur scène, ils parcourront leur carnet de route et partageront leur méditation sur l’état du monde à travers les titres de leur dernier opus « Comment je suis devenu voyageur » sorti début mars 2011.
Vous avez aimé Caravan Palace, vous allez adorer Parov Stelar Band ! Le roi du swing électro, pionnier du genre, vient pour la première fois dans un festival en Belgique et qui plus est, pour une date exclusive ! Le DJ autrichien au sens aiguisé de l’esthétisme du son revient avec « The Paris Swing Box », un nouvel opus travaillé d’une main de maître, et sorti sous son propre label, Etage Noir.
Les Têtes Raides reviennent au devant de la scène avec des musiques poético-réalistes empreintent d’une douceur à faire tourner la tête. Fidèles à leurs idéaux, ils mêlent poésie et humour noir, esprit de fête et appel à la mobilisation des esprits.
Les Belgotronics du groupe bruxellois Hoquets s’inspirent des Congotronics (Konono N°1, Kasai Allstars et Staff Benda Bilili). Le reggae à l’énergie rock des australiens Blue King Brown est impulsé par le groove et la voix puissante de la ravissante chanteuse Natalie Pa’apa’a. La fanfare la plus déjantée de nos voisins nordiques, Amsterdam Klezmer Band, proposera son mélange explosif de klezmer et de musiques balkaniques. Le cabaret musical d’OqueStrada a osé briser les lois du fado et du folklore portugais, alors que la soul, le gospel et le funk de Sharon Jones & the Dap-Kings nous emmèneront vers le berceau des musiques blacks aux States, Brooklyn.
