Wacken, c’est sûr. (Y a moins de Français, déjà.)
Blague à part, j'ai trouvé un moins grand clivage dans les métalleux au Wacken qu'au Hellfest, ce qui donne une ambiance un poil meilleure au Wacken.
Rien que pour
la bouffe "maison", ça vaut le coup.
Là-bas, les stands sont excellents : produits locaux, petits producteurs, ambiance régionale…
(Pas comme au Graspop ou à Werchter, qui sont une honte à ce niveau-là.)
Là-bas, tu manges sur les stands, et tu manges bien. Point.
La bière allemande ?
Correcte. Pas incroyable, mais tout à fait potable.
Le gros plus du Wacken ?
Le
parking/camping. Tu gares ta voiture, et tu installes ta tente
juste derrière.
La première année, on a découvert le système un peu à l’arrache, avec une tente pourrie.
Crois-moi, les années suivantes, on est venus préparés :
→ tente de vie
→ tente pour le brol
→ tente pour dormir
→ barbecue perso
→ générateur et frigo
→ et même un petit canapé (si, si).
Et encore, on fait partie des petits joueurs.
Certains débarquent avec des camions de déménagement, des véhicules de l’armée… Vous verrez des trucs complètement fous.
Besoin de faire une course ?
L’organisation est top : les voitures sont placées de façon à pouvoir sortir et revenir sans souci.
(Bon, par temps de pluie… avec la boue… oublie.)
Les locaux sont géniaux.
Ils vivent du festival, ils sont accueillants, et clairement plus fun que ceux autour du Hellfest (même s’il y en a des sympas aussi).
Le reste ? Plus ou moins pareil qu’ailleurs.
Mais :
→ Plus de groupes
→ Plus d’animations
→ Jamais de temps mort.
Mon conseil ?
Wacken, à faire une année sur deux.
Souvent, une année avec une line-up "moyenne", suivie d’une line-up de feu !
Et si vous voulez en profiter un peu plus :
la région est magnifique.
J’y ai un client depuis dix ans, juste à côté, donc je connais bien.
C’est idéal pour prolonger avec des vacances… ou faire un saut au Danemark.
