How to become a Hip-Hop Fan :]

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
holla holla tout le monde... (et oui, même les fan de Manson :p)

J'ai dans l'idée, après avoir lu de nombreux postes et pour que finissent cette guerre sans fin contre le hiphop de créér un thread qui regrouperaient un nombre d'album de rappeurs/groupes encore inconnu de vos vierges oreilles.

Le but est de vous faire comprendre que le message des rappeurs ne se limitent pas seulement à "money, girlz & drugz"... il est au delà de ça bien plus suptil et de faire oublier les stéréotypes "survett`, casquette, basquette"

Libre à vous de le lire, d'en écouter les chansons et même d'acheter les disques (kof kof...:p) mais je n'admeterais pas la moindre critique sans fondements.

J'èspere réelement que ce thread va vous ouvrir les yeux et les oreilles.
Je ferais des mises à jours assez régulièrement pour ne pas vous endormir.

Bien à vous.


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Jedi Mind Tricks
The Psycho-Social, Chemical, Biological, and Electro-Magnetic Manipulation of Human Consciousness



Par où commencer pour décrire ce chef d'œuvre ? Faîtes le écouter à n'importe quel amateur de rap, même à un skyrock addict, dès les premières mesures, il vous dira "tiens, c'est le nouveau Wu-Tang ? je savais pas que c'était déjà sorti". En effet, le travail de Stoupe peut ressembler à celui du RZA de la grande époque. Pourtant, au risque de blasphémer et de choquer les esprits, n'ayons pas peur des mots, le Stoupe de "The Psycho-Social LP" est plus fort que le RZA d'Enter the Wu. Plus sombre, plus étrange, plus profond surtout. Car la force de l'album réside essentiellement dans cette densité sonore, qui prolonge en quelque sorte le travail entrepris par ce même RZA sur "Liquid Swords" de GZA, là où jamais le Hip-Hop n'avait tant permis de voyager au sein d'un monde glauque et oppressant.

Ces instrus uniques sont servis par la prestation d'un MC qui l'est tout autant, Ikon the Verbal Hologram. "The Psycho-Social LP" est également un témoignage de l'époque où celui-ci, plutôt que de brailler comme sur "Violent by Design", préférait rapper, et plutôt bien d'ailleurs. Un flow fluide, déjà assez violent certes, mais diablement efficace pour livrer ses lyrics, à mi chemin permanent entre mysticisme et chant guerrier : "The hands of the mighty line of Judah, will throw you through the triangular portals of Bermuda, exploring the Hologramic aspects of consciousness, for aliens truth devour, orthodox vs. running through fistic equations for power/The shower of acid rain brings pain to the land, you cannot kill what you cannot see, The Verbal Hologram"

The Psycho-Social LP est l'un des albums majeurs de l'histoire du Hip-Hop, un chef d'œuvre de plus à mettre à l'actif d'une année 1997 déjà très fertile.


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Raekwon
Only Built 4 Cuban Lynx



Des tranches de dialogues (parfois issues de films cultes) que Raekwon va distribuer tout au long de son album auront pour fonction de rassembler les titres et créer une parfaite unité à l'ensemble.
'Knowledge God' est le premier track de l'album où Rae s'essaye aux histoires mafieuses. Alors bien sûr le titre débute par des sniffettes qui ont soulevées de nombreuses rumeurs à l'époque, le rôle de composition qu'il endosse dans ce morceau et quelques autres ayant visiblement échappé à plus d'un (au point qu'il éprouvera le besoin de s'expliquer à de nombreuses reprises sur ce sujet). Cette confusion est certainement avant tout dû au fait que le MC détient en son pouvoir d'énormes talents pour construire et conter des récits de gangsters baignés dans un incroyable (improbable?) melting pot culturel. C'est le début d'une nouvelle mode qui paradoxalement aura été à son comble sur cet album précurseur.


Mais, vraiment, qui pourrait nier que les cinq minutes de 'Rainy Dayz' sont un pur moment de bravoure Hip-Hop inégalable, inégalé, tant l'ambiance sonore (corbeaux qui croassent, bruits d'orage, de court-jus, grincements, refrain chanté par Blue Raspberry genre soul…) y est oppressante et emprunte de tristesse. Les paroles de Rae et Ghost, évitant la complaisance, se polarisent sur leurs ressentiments dans des situations particulières (enfermés chez eux à cause de la pluie) et explosent tous les clichés du genre.

Pour digérer tous ces tracks denses et aux beats extra-loud rien de tel qu'un petit digestif : 'Heaven & Hell' et 'North Star' porté par un sample smooth de Barry White. Le rythme ralenti, les voix se font moins agressives, on laisse glisser pépère jusqu'au bout de l'album... Jusqu'à la dernière goutte.


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Masta Ace
Disposable Arts



Révélé en 1988 sur 'The Symphony', posse-cut emblématique extrait du non moins mythique album de Marley Marl, "In control vol.1", le rookie d’alors est devenu 13 ans après un vétéran méconnu. La voix s’est assagie, le ton est moins enjoué, et le contexte défiguré. Construit à la façon d’un "rap-opera", comme "Prince among thieves" ou "Deltron 3030", l'album constitue un témoignage subtil sur le parcours de son auteur et l’époque dans laquelle il évolue désormais, bien éloignée du "Golden Age" de ses débuts.

En dépit de petites baisses d’intensité dans la narration et quelques longueurs pendant les 73 minutes de l’album, "Disposable Arts" est un disque qui dévoile sur la durée plusieurs niveaux de lecture : une fiction enlevée et crédible, tout d’abord, matinée d’une réflexion sur le propre parcours au goût d’inachevé de Masta Ace, et enfin une critique amère du rap contemporain, conclue dans l’outro par un "Preserve the music" presque désespéré. Intéressant dans sa globalité, mais aussi très plaisant pour le simple plaisir que chaque titre procure, Disposable Arts est une œuvre intrigante, ludique, réfléchie et convaincante. A (re)découvrir.


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Mr Lif
I Phantom



Pour comprendre cet album plus complexe qu'il n'y parait, et en apprécier pleinement les différents épisodes, il faut avant tout en avoir une vision d'ensemble. "I Phantom" prend la forme d'un récit, exposé en quatorze points, avec un début et une fin, mais dont le développement s'avère plutôt complexe (pour ne pas dire chaotique). Les petites notes et explications laissées par Lif dans le livret sont à ce titre bien utiles, et nous servent d'indices dans cette mini-enquête. Après les avoir décortiqué, on comprend que cet opus expose les rêves, regrets et illusions d'un homme devant faire face à un quotidien où les embûches ne manquent pas. Cet individu dont l'identité n'est pas révélée, recherche ainsi sa voie au sein d'une société Américaine dont Lif ne manque pas de souligner (une nouvelle fois) les multiples incohérences. Quelques thèmes annexes viennent se greffer à ce récit, comme par exemple la colonisation ('Iron Helix'), ou encore l'holocauste nucléaire ('Earthcrusher'). Cette dernière étape fait d'ailleurs office de conclusion (après le lugubre 'Post Mortem') d'une histoire décidément difficile à cerner...

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Little Brother
The Listening



L'album se présente comme un long show radio. Un présentateur nous introduit dans l'univers de LB et, au cours du LP, il intervient parfois pour enchaîner les titres, passer quelques dédicaces, quelques infos, quelques pubs et glisser quelques interludes musicaux dans le mix. Grâce à cette astuce déjà vue mais bien réalisée, les morceaux se suivent sans heurts et de manière cohérente. Côté emceeing, dès le départ, Big Pooh et Phonte s'équilibrent idéalement au micro ; les timbres et les flows se faisant écho. Avec des mots simples, le duo d'emcees se présente comme des gars normaux connaissant les mêmes joies et galères que tout un chacun et évoquant chaque facette de leur vie de manière équitable dans leurs textes.

Réminiscents d'un golden age où les rappers ne cherchaient pas à compliquer inutilement leurs phrasés et préféraient rester fluides pour mieux faire passer une vibe et un message, les flows de Little Brother coulent de source et les voix n'hésitent pas à chantonner quelque peu les refrains. S'ils utilisent des fois leur battle mode pour remettre les pendules à l'heure ('For You', 'The Getup'), Big Pooh et Phonte préfèrent clairement donner un peu plus de direction à leurs titres en versant dans la semi autobiographie. Que ce soit sur ce 'Love Joint Revisited' où ils listent toutes les choses qu'ils aiment (du hip-hop au catch en passant par la bouffe, les femmes, etc.) ; sur 'So Fabulous' où ils rendent hommage à leurs prédécesseurs dans le rap game en reprenant certaines des rimes de Chuck D, Audio Two, Digable Planets et consorts ou sur 'The Way We Do It' où ils remercient leur public tout en nous dévoilant l'adrénaline qui montent en eux lors de leurs passages sur scène, le groupe fait preuve d'une volonté de fraîcheur évidente…


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Gang Starr
Moment Of Truth



Pour ce 5ème opus, les productions ont, encore une fois, été en majeur partie réalisées par Primo et quand on voit le travail qu'il a effectué, on ne voit pas qui pourrait lui contester d'être parmi les (le ?) meilleurs producteurs de tous les temps... D'entré le ton est donné. Comment résister au terrible 'You Know My Steez' avec un Guru plus qu'envoûtant ? Et vous n'êtes pas au bout de toutes les surprises que nous offre cette formidable galette de 20 titres. Les productions ont toutes été travaillées avec soin comme pour 'Work', 'Moment Of Truth', 'Royalty' ou encore 'Next Time'. De plus, Primo a réservé aux nombreux invités présents, de véritables perles à l'image de 'The Militia' avec Big Shug et l'impressionnant couplet de Freddie Foxxx.

Bref, entre le talent génial de DJ Premier aux manettes et les rimes d'anthologie de Guru, ce 5ème opus de Gangstarr ne déçoit pas. Au contraire, il s'incrit d'ores et déjà comme un classique et c'est un vrai régal pour nos oreilles. Moment Of Truth est le travail abouti d'un groupe qui n'a plus rien à prouver mais plutôt à faire apprendre à la nouvelle génération ce qu'est le hip-hop. A acheter d'urgence.


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J-Live
The Best Part



Certifié classique avant même sa sortie, ce premier album de J-Live mérite réellement cette appellation et s'inscrit d'emblée au panthéon des meilleurs albums de ces 5 dernières années. Uniquement disponible en vinyl suite à de nombreux problèmes de label, ce 15 titres prouve qu'il existe encore des artistes HIP-HOP, intelligents et intègres.

Cela faisait en effet longtemps qu'on avait entendu une telle alchimie entre un MC et son microphone. J-Live est réellement né pour rapper. Il suffit de l'entendre se jouer des changements de rythme de 'Them That's Not' et magnifier chacun des beats de cet album sans faille. Ses textes, son timbre de voix, son charisme : tout contribue à le placer dans la cour des grands. Que ce soient des morceaux énergiques, rageurs, mélancoliques ou nostalgiques, J-Live sait tout faire et nous le prouve ici. Pas besoin de featuring, son talent versatil se suffit à lui-même.


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Madvillain
Madvillainy



Madvillain, c'est l'alliance improbable entre deux figures majeures du hip-hop actuel qu'on ne s'attendait pas vraiment à retrouver côte à côte (Madlib & MF Doom). Si ces emcees/producteurs aux discographies impressionnantes ont tous les 2 prouvé qu'ils étaient des artistes talentueux et prolifiques, on ne voyait pas franchement, en dehors de leur penchant pour les alias, ce qui pouvait bien les réunir (surtout compte tenu de leur éloignement géographique). C'était sous estimer leur passion commune pour la musique… et leur goût pour les blunts et la boisson. Selon les dires d'un spécialiste échantillonné sur 'America's Most Blunted', "it's a known fact that grass increases creativity from 8 to 11 times" . A écouter Madvillainy, on aurait tendance à le croire tant l'alchimie entre les 2 artistes opère.

Il serait bien difficile et injuste de ne pas être dithyrambique à propos de Madvillainy. En effet, même s'il n'atteint pas les sommets solos de The Unseen ou Operation: Doomsday, ce premier album de l'alliance Madvillain s'impose à tout point de vue comme un essai bouillonnant et incontournable. Révélant des surprises à chaque écoute, cet opus intense, brûlant et surprenant est définitivement à la hauteur de nos attentes. Unissant leurs forces pour créer une nouvelle entité à la puissance dévastatrice et à l'identité propre plutôt que de se reposer sur leurs lauriers, Madlib et MF Doom marquent encore des points et frappent en plein cœur. Doom l'a bien compris lorsqu'il lâche: "Play it in your stereo, your crew'll go apeshit". L'effet est garanti. 3 mots pour résumer Madvillainy ? Brillant. Exceptionnel. Indispensable.


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RJD2
DeadRinger



Un constat s'impose : RJD2 surprend. On le savait talentueux mais son album tranche vraiment avec le commun des projets instrumentaux hip-hop en se débarassant souvent des structures rigides et en piochant des samples là où on ne l'attend pas. Changeant constamment de direction pour mieux nous perdre et nous séduire à la fois ('Good Times Roll Pt. 2'), privilégiant l'émotion à l'épate, il dépasse le cadre trop étroit de la musique rap. Pas étonnant qu'il faille se rendre au rayon musique électronique dans bien des magasins pour trouver Deadringer aux côtés des travaux de DJ Shadow ou DJ Krush. Car Rjd2 est taillé dans la même pierre que ces 2 figures de l'abstract hip-hop... tout en rappelant Moby à l'occasion ('Smoke & Mirrors')! En tout cas, en 17 morceaux, il développe une identité sonore déjà bien affirmée.

A l'écoute de Deadringer, c'est un profond sentiment de satisfaction qui se dégage. L'univers de Rjd2 se démarque des expérimentations futuristes qui prédominaient jusqu'alors sur Def Jux mais il maintient le niveau d'excellence qui a fait la réputation du label. Deadringer place Rjd2 dans la cour des grands... pour longtemps semble-t-il.


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Swollen Members
Bad Dreams



Alchimie! C'est le premier mot qui vient à l'esprit quand Madchild et Prevail unissent leurs forces. Complimentarité en style, en flows, en métaphores, en textes... le duo de rêve. Entourés de leurs talentueux amis au mic (Dilated Peoples, Buc Fifty, Moka Only, Chali 2Na [J5], Son Doobie...), aux platines (DJ Revolution, Babu) et derrière le sampler (Rob The Viking, Alchemist, Evidence, Joey Chavez...), les fers de lance de Battle Axe ont de quoi parer toutes les attaques. Mais c'est surtout leur talent d'auteurs qui détache cet album de la masse des sorties actuelles. A l'écoute de leurs images médievales ou de leurs récits de cauchemar ('Bad Dreams') ou de guerre ('Camouflage'), on se retrouve embarqué vers des contrées où le rap nous emméne trop rarement et qu'il fait bon découvrir. C'est donc sans surprise que cet album est une réussite. Peut-etre juste un peu moins inoubliable que Balance mais tout est question d'effet de surprise... En tout cas, c'est du haut de gamme et les Swollen Members s'affirment un peu plus comme des poids lourds de l'underground nord-americain.

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J-Rawls
The Essence Of J-Rawls



Concepteur musical des Lone Catalysts, J-Rawls débarque direct de l'Ohio avec un premier album attendu. Connu pour ses compositions très jazzy et relax , J-Rawls se démarque ici des autres albums de producteurs en conservant sa personnalité et en évitant de trop se fondre dans le type de sons sur lesquels posent d'habitude ses invités. Il reste ainsi la vraie star de ce LP qui en contient beaucoup : J-Live, Mr. Complex, Apani B. Fly, Capital D (d'All Natural), Dose One (de Them), Mass Influence et même son collègue J-Sands. Sans user d'artifices superflus, il crée une bande-son tranquille qui laisse toute la place nécessaire aux MC's pour s'exprimer. On a l'impression qu'il reste un peu en retrait pour mieux mettre en avant ses convives et on ne peut que l'en féliciter.

Chaque morceau a été peaufiné pour obtenir au final une pièce en 14 actes qui sont autant d'instantanés de ce qui est la base du rap : beats, rimes et authenticité. Sans emmener la musique dans des contrées inexplorées, J-Rawls se contente de nous délivrer un très bon album, dont la texture sonore et le contenu lyrical laisse penser qu'il vieillira très bien. Et c'est déjà beaucoup, car on sent dans ses instrumentaux que J-Rawls est un vrai amoureux de la musique, un passionné, un mélomane averti... bref, qu'il réunit toutes les qualités d'un grand producteur. Entre jazz cool et rare groove, les ambiances de cet album nous ramène à l'essence même du rap d'autrefois... Un vrai plaisir.


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source : abcdrduson.com - hiphopcore.net
 

Samcai

Noir à lunettes
Même pour moi qui écoute du rap je ne connaissais aucuns de ces groupes ^^

Je les notes sur un coin de table

merci

edit:

- Sage Francis => Vient de découvrir à Dour, vraiment bon...
 
Raekwon c'est du très bon... Le reste je connais pas, j'ai peur que ce soit du abstract... Moi j'estime pas que le hip hop doit changer, on l'aime ou on l'aime pas... :wink:
 

ronz0

Elite
de ce que j'ai pu écouter (j'ai Violent By Design mais j'ai jamais réussis à l'écouter de bout en bout..) Stoupe est quand même moins brutale que le rza de l'époque... j'aurai pas osé la comparaison.. un morceau que je trouve terrible c'est Blood Runs Cold

The Listening, Disposable Arts.. c'est du tout bon ça
 

ronz0

Elite
Disizzzz a dit:
Raekwon c'est du très bon... Le reste je connais pas, j'ai peur que ce soit du abstract... Moi j'estime pas que le hip hop doit changer, on l'aime ou on l'aime pas... :wink:
non pas du tout "abstract" c'est plutôt classique pour Disposable Art et The Listening c'est très soul... produit par 9th Wonder
 
W

wilson_

ex membre
Yep Raekwon c'est de la bombe :D
 
1er
OP
Sha ou kaZ
ronz0 a dit:
Disizzzz a dit:
Raekwon c'est du très bon... Le reste je connais pas, j'ai peur que ce soit du abstract... Moi j'estime pas que le hip hop doit changer, on l'aime ou on l'aime pas... :wink:
non pas du tout "abstract" c'est plutôt classique pour Disposable Art et The Listening c'est très soul... produit par 9th Wonder
ouaip, d'ailleur les solo de Big Pooh et Phonte sont de très bon album aussi ! je ne me passe plus des prods. de 9th.

A écoutez aussi :

9th Wonder & Buckshot : Chemistry
9th Wonder Invented The Remix
Rapper Big Pooh In Sleepers
 
W

wilson_

ex membre
On peut rajouter ses tueries aussi ?

Perso j'ajouterai

MF Doom - Operation doomsday



DJ Krush - Zen

Une tuerie dans l'abstract hip hop



J'éditerai, j'ai po le temps là :beuh:
 

Moving

No future, Yes confiture
A part Masta ace, je connais aucun autre groupe cité mais Raekwon me tente bien :) !
 

WaKaaN

JcQL
J'ai po encore écouté, mais serieu : SUPERBE post !

ca donne envie d'écouter :)
 
ronz0 a dit:
non pas du tout "abstract" c'est plutôt classique pour Disposable Art et The Listening c'est très soul... produit par 9th Wonder
9th Wonder je connais de réputation, faudra que j'écoute...

Sinon MF Doom c'est quand même très spécial faut reconnaitre... :roll:
 

Chinois

Touriste
hé hé hé, j'attendais avec impatience un thread comme celui là.
(y) bravo

allez venez les " techno-audistes " :p
 
1er
OP
Sha ou kaZ
Disizzzz a dit:
ronz0 a dit:
non pas du tout "abstract" c'est plutôt classique pour Disposable Art et The Listening c'est très soul... produit par 9th Wonder
Sinon MF Doom c'est quand même très spécial faut reconnaitre... :roll:
Doom se distingue d'originalité, il rap sur des boucles improbables et est habile au mic.
Opération Doomsday, est son opération de destruction du rap, et cela fonctionne, la preuve : "Sinon MF Doom c'est quand même très spécial faut reconnaitre..."

Doom s'écoute après qques bon j***** :D
 

Elian

Techno Mofo
Staff
Chinois a dit:
hé hé hé, j'attendais avec impatience un thread comme celui là.
(y) bravo

allez venez les " techno-audistes " :p
Pq cette rivalité ? Techno et Hiphop viennent de la même racine voyons. On peut de plus aimer les deux styles, n'en déplaise à certains !
 

pacoO

Jacques-Yves Cousteau
:arrow: La Rumeur
:arrow: Looptroop
:arrow: Le Klub Des Loosers
 

Arnoz

Touriste
Je suis tout sauf fan de hip-hop rap et consors... pourtant j'adore vraiment Madvillain
Madvillainy et RJD2 :))
 

Roswald

Elite
Ma petite contribution ;

Sur le label Babygrande Records

:arrow: 7L & Esoteric
:arrow: Immortal Technique
:arrow: Outerspace
:arrow: Jedi Mind Tricks (comme cité plus haut)

Un peu plus trash

:arrow: Necro and Ill Bill
:arrow: Non phixion

Pas un album de Gangstarr mais TOUS !
(et toute les productions de DJ Premier en général mais la liste est trop longue)

Pour les fans d'Eminem

:arrow: R.A. The Rugged Man

Bonne écoute.
 
1er
OP
Sha ou kaZ
Non Phixion, je n'ai pas voulu le mettre, bien que The Future Is Now est un bon album il laisse un gout d'inachevé..

Necro, mwai... Gory Dayz est un bon album mais il reste dans la lignée des prods psycho+logical sans s'en démarquer...

Immortal Technique, le rappeur d'origine peruvienne c'est ça ? Revolutionnary vol. 1&2 sont terrible !

Le but de ce post était surtout de mettre de très très bon album, presque des références !!
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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