zoheir
cvm.mangaleet()
MADRID, dimanche 30 novembre 2003 - Malgré le deuil, l'Espagne maintient le cap. Pas de retrait des 1.300 militaires espagnols déployés en Irak. Ce serait "le pire des chemins possibles" a dit le président du gouvernement espagnol, José Maria Aznar, dans un message institutionnel télévisé à la nation dimanche après-midi.
M. Aznar réagissait ainsi à l'assassinat, dans une attaque menée 24 heures plus tôt au sud de Bagdad, de sept agents des services de renseignement militaires espagnols. Comme le président américain George W. Bush, dont il est l'un des plus fidèles alliés, José Maria Aznar estime que la coalition militaire internationale formée autour de Washington contribue à "libérer les Irakiens de la tyrannie" et à défendre, au-delà des frontières, "les valeurs de la démocratie contre le terrorisme".
Voici le texte du message institutionnel de M. Aznar:
(...)
Ils étaient militaires de profession, de bons Espagnols qui ont travaillé pour notre liberté et notre sécurité à l'intérieur et hors de l'Espagne. Nul ne savait mieux qu'eux le risque qu'ils couraient et, tout en le sachant, ils voulurent lutter contre un terrorisme qui nous menace ici et là-bas.
(...)
Ce fanatisme, il n'y a pas d'autre remède que de l'affronter. C'est ce fanatisme qui nous considère comme des ennemis, nous et tous ceux qui ne le suivent pas. C'est ce fanatisme terroriste qui a décidé de nous frapper autant qu'il le peut, que ce soit à New York, Istanbul, Casablanca ou Bagdad.
Il n'y a pas de frontières dans la lutte contre le terrorisme, car les fanatiques ne veulent pas qu'il y en ait. Il n'y a pas d'alternative à la défense de la liberté, à la démocratie et aux valeurs qui définissent notre mode de vie. Cela demeure la réponse à ceux qui se demandent ce que font nos troupes, ce que font nos forces, ce que font nos compatriotes en Irak.
En un jour comme celui-ci, où notre douleur est immense, où nous nous sentons avant tout proches de leurs familles, je veux dire à nouveau à tous les Espagnols que notre présence en Irak à un sens. Notre liberté, celle de tous et de chacun d'entre nous, est menacée par les terroristes qui agissent là où ils le peuvent et quand ils le peuvent et qui infligent le plus grand dommage que peuvent causer leurs mains et leurs esprits.
Un groupe de nations libres, engagées dans la défense de la paix et de la sécurité internationale, appuyées par les Nations unies et par la raison, sont en Irak pour libérer le peuple irakien d'une tyrannie atroce et pour combattre un réseau terroriste international qui menace nos vies et nos libertés.
A ceux qui, pour nous, mettent quotidiennement en danger leur vie, nous leur devons reconnaissance et appui. Probablement plus que n'importe quel autre pays au monde, nous savons, nous les Espagnols, ce que sont des victimes du terrorisme. Nous avons l'expérience de ce qu'est le terrorisme et aussi de ceux qui l'appuient par lâcheté ou conviction.
(...)
Merci Aznar pour ce discours aussi bidon ...
Sans oublier que 90% des espagnols sont contre cette guerre
J'ai lu il n'y a pas longtps que l'Espagne a obtenu un contrat de plus de 300 millions de dollars, pour je ne sais plus, ah oui je crois que c'était de donner des moyens logistiques et entrainer l'armée irakienne ...
Faut arrêter de mentir aux gens Monsieur Aznar, on sait bien que vous faites tout cela pour VOS intérêts économiques et non pas de combattre la tyrannie.
PS: je n'arrive pas à retrouver l'article sur ce contrat :s
M. Aznar réagissait ainsi à l'assassinat, dans une attaque menée 24 heures plus tôt au sud de Bagdad, de sept agents des services de renseignement militaires espagnols. Comme le président américain George W. Bush, dont il est l'un des plus fidèles alliés, José Maria Aznar estime que la coalition militaire internationale formée autour de Washington contribue à "libérer les Irakiens de la tyrannie" et à défendre, au-delà des frontières, "les valeurs de la démocratie contre le terrorisme".
Voici le texte du message institutionnel de M. Aznar:
(...)
Ils étaient militaires de profession, de bons Espagnols qui ont travaillé pour notre liberté et notre sécurité à l'intérieur et hors de l'Espagne. Nul ne savait mieux qu'eux le risque qu'ils couraient et, tout en le sachant, ils voulurent lutter contre un terrorisme qui nous menace ici et là-bas.
(...)
Ce fanatisme, il n'y a pas d'autre remède que de l'affronter. C'est ce fanatisme qui nous considère comme des ennemis, nous et tous ceux qui ne le suivent pas. C'est ce fanatisme terroriste qui a décidé de nous frapper autant qu'il le peut, que ce soit à New York, Istanbul, Casablanca ou Bagdad.
Il n'y a pas de frontières dans la lutte contre le terrorisme, car les fanatiques ne veulent pas qu'il y en ait. Il n'y a pas d'alternative à la défense de la liberté, à la démocratie et aux valeurs qui définissent notre mode de vie. Cela demeure la réponse à ceux qui se demandent ce que font nos troupes, ce que font nos forces, ce que font nos compatriotes en Irak.
En un jour comme celui-ci, où notre douleur est immense, où nous nous sentons avant tout proches de leurs familles, je veux dire à nouveau à tous les Espagnols que notre présence en Irak à un sens. Notre liberté, celle de tous et de chacun d'entre nous, est menacée par les terroristes qui agissent là où ils le peuvent et quand ils le peuvent et qui infligent le plus grand dommage que peuvent causer leurs mains et leurs esprits.
Un groupe de nations libres, engagées dans la défense de la paix et de la sécurité internationale, appuyées par les Nations unies et par la raison, sont en Irak pour libérer le peuple irakien d'une tyrannie atroce et pour combattre un réseau terroriste international qui menace nos vies et nos libertés.
A ceux qui, pour nous, mettent quotidiennement en danger leur vie, nous leur devons reconnaissance et appui. Probablement plus que n'importe quel autre pays au monde, nous savons, nous les Espagnols, ce que sont des victimes du terrorisme. Nous avons l'expérience de ce qu'est le terrorisme et aussi de ceux qui l'appuient par lâcheté ou conviction.
(...)
Merci Aznar pour ce discours aussi bidon ...
Sans oublier que 90% des espagnols sont contre cette guerre
J'ai lu il n'y a pas longtps que l'Espagne a obtenu un contrat de plus de 300 millions de dollars, pour je ne sais plus, ah oui je crois que c'était de donner des moyens logistiques et entrainer l'armée irakienne ...
Faut arrêter de mentir aux gens Monsieur Aznar, on sait bien que vous faites tout cela pour VOS intérêts économiques et non pas de combattre la tyrannie.
PS: je n'arrive pas à retrouver l'article sur ce contrat :s