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Irak: le président Bush appelle l'Onu à épauler ses troupes
Le président américain George W. Bush a appelé dimanche l'Onu à oublier les querelles passées et à assumer un rôle plus large en Irak avec l'envoi de troupes, cinq mois après la chute de Saddam Hussein, dont les partisans continuent à harceler les troupes américaines.
Il a également demandé au Congrès de voter une rallonge budgétaire de 87 milliards de dollars pour financer la stabilisation et la reconstruction de l'Irak mais aussi de l'Afghanistan. "Je reconnais que tous nos amis n'ont pas été d'accord avec notre décision de faire appliquer les résolutions des Nations unies et de retirer du pouvoir Saddam Hussein. Mais nous ne pouvons laisser nos divergences passées entraver nos obligations actuelles", a-t-il ajouté dans un discours à la Nation.
Selon Bush, la décision de se tourner vers l'Onu a été prise car "certains pays ont demandé une autorisation explicite du Conseil de sécurité des Nations unies avant d'envoyer des troupes en Irak". Mais il a souligné que toute force de l'Onu qui serait envoyée dans ce pays serait "dirigée par l'Amérique". D'après le président américain, la sécurité en Irak nécessite d'y déployer une nouvelle division - soit entre 10.000 et 15.000 hommes -, qui ne serait pas américaine mais multinationale
:arrow: mdr quoi qui va encore payer les conneries de bush...
:arrow: les americains ne voudraient pas changer de président
:arrow: Bush vie dans un jeux vidéo

Le président américain George W. Bush a appelé dimanche l'Onu à oublier les querelles passées et à assumer un rôle plus large en Irak avec l'envoi de troupes, cinq mois après la chute de Saddam Hussein, dont les partisans continuent à harceler les troupes américaines.
Il a également demandé au Congrès de voter une rallonge budgétaire de 87 milliards de dollars pour financer la stabilisation et la reconstruction de l'Irak mais aussi de l'Afghanistan. "Je reconnais que tous nos amis n'ont pas été d'accord avec notre décision de faire appliquer les résolutions des Nations unies et de retirer du pouvoir Saddam Hussein. Mais nous ne pouvons laisser nos divergences passées entraver nos obligations actuelles", a-t-il ajouté dans un discours à la Nation.
Selon Bush, la décision de se tourner vers l'Onu a été prise car "certains pays ont demandé une autorisation explicite du Conseil de sécurité des Nations unies avant d'envoyer des troupes en Irak". Mais il a souligné que toute force de l'Onu qui serait envoyée dans ce pays serait "dirigée par l'Amérique". D'après le président américain, la sécurité en Irak nécessite d'y déployer une nouvelle division - soit entre 10.000 et 15.000 hommes -, qui ne serait pas américaine mais multinationale
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