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RedCross
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Parce que l'actualité c'est aussi ça, un problème sérieux de santé publique.
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La vie sexuelle de la moule perlière n’est «plus ce qu’elle était»
LONDRES 16/04 (AFP)
Moins connue que l’huître perlière, la moule perlière est menacée d’extinction en Angleterre et au Pays de Galles, sa vie sexuelle n’étant «plus ce qu’elle était», s’inquiètent des scientifiques britanniques, qui étudient les moyens de stimuler sa reproduction.
«En Angleterre et au Pays de Galles, les moules perlières adultes d’eau douce ne sont pas très mobiles et leur vie sexuelle n’est plus ce qu’elle était», affirme le site internet de l’agence britannique Environment Agency.
D’où une baisse du nombre d’individus, parmi lesquels «des milliers vivent solitaires», selon l’agence, qui participe mercredi à une réunion d’experts scientifiques sur le sujet à Warrington, dans le centre de l’Angleterre.
«C’est une espèce rare qui est menacée au niveau mondial, pas seulement ici. La perdre serait une tragédie», selon Anne Lewis, porte-parole de Environnement Agency.
Le groupe English Nature, qui participe également à la réunion de mercredi, préconise la réimplantation des individus isolés au milieu de leurs congénères.
Les moules perlières ont une espérance de vie comprise entre 80 et 100 ans en Grande-Bretagne et peuvent mesurer jusqu’à 15 centimètres de longueur. Elles deviennent capables de se reproduire à 12 ans et en sont encore capables à 100.
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La vie sexuelle de la moule perlière n’est «plus ce qu’elle était»
LONDRES 16/04 (AFP)
Moins connue que l’huître perlière, la moule perlière est menacée d’extinction en Angleterre et au Pays de Galles, sa vie sexuelle n’étant «plus ce qu’elle était», s’inquiètent des scientifiques britanniques, qui étudient les moyens de stimuler sa reproduction.
«En Angleterre et au Pays de Galles, les moules perlières adultes d’eau douce ne sont pas très mobiles et leur vie sexuelle n’est plus ce qu’elle était», affirme le site internet de l’agence britannique Environment Agency.
D’où une baisse du nombre d’individus, parmi lesquels «des milliers vivent solitaires», selon l’agence, qui participe mercredi à une réunion d’experts scientifiques sur le sujet à Warrington, dans le centre de l’Angleterre.
«C’est une espèce rare qui est menacée au niveau mondial, pas seulement ici. La perdre serait une tragédie», selon Anne Lewis, porte-parole de Environnement Agency.
Le groupe English Nature, qui participe également à la réunion de mercredi, préconise la réimplantation des individus isolés au milieu de leurs congénères.
Les moules perlières ont une espérance de vie comprise entre 80 et 100 ans en Grande-Bretagne et peuvent mesurer jusqu’à 15 centimètres de longueur. Elles deviennent capables de se reproduire à 12 ans et en sont encore capables à 100.