DoC 2000
Elite
Le nom du Ballon d'Or France Football 2005 sera dévoilé ce lundi peu après 20h00. La cérémonie sera retransmise en direct sur Canal+. De nombreux joueurs figurent parmi les favoris pour l'attribution du trophée, le 50e du nom. Un tapis d'anciennes stars du ballon rond, de Michel Platini à Franz Beckenbauer en passant par Johann Cruyff, est attendu pour l'occasion.
Pas moins de 23 anciens Ballon d'Or seront réunis à l'Espace Cardin pour assister au sacre du successeur d'Andrei Shevchenko, lauréat 2004. Au rang de grandissimes favoris, on retrouve le Brésilien Ronaldinho et les Anglais Steven Gerrard et Frank Lampard. Sept Français sont également en lice : Grégory Coupet, Zinédine Zidane, Claude Makelele, Lilian Thuram, David Trezeguet, Patrick Vieira et Thierry Henry. La fin du suspense est proche.
Ronaldinho, favori logique
Ronaldinho est donc le prétendant le plus crédible à l’obtention du Ballon d’Or 2005, événement orchestré depuis sa création, en 1956, par France Football. Désigné joueur de l’année 2004 par la FIFA, le Brésilien s’est, douze mois durant, surpassé pour décrocher cette récompense ultime, ou du moins la plus médiatique. Non seulement le génie auriverde a très grandement contribué à la victoire de Barcelone en Liga la saison dernière, mais en plus il a été un des principaux artisans du succès du Brésil lors de la Coupe des Confédérations, qui s’est tenue en juin dernier. Année 2005, jalonnée de nombreux autres faits d’armes de l’ancien Parisien. Il suffit de se remémorer son but marqué à Chelsea ou d’avoir admiré ses deux promenades décisives dans la défense madrilène, il y a neuf jours. Exploit qui eut, d’ailleurs, l’improbable effet de faire se lever tout le stade Bernabeu en son honneur. Autant de performances de premier ordre qui le placent comme le grandissime favori, par l’ensemble de la presse européenne, mais également par ses coéquipiers, comme Carles Puyol, pour qui : «Ronaldinho est le meilleur joueur du monde». Autre Barcelonais, son compatriote Juliano Belletti déclarait même pour Marca : «Ronaldinho est le type de joueur pour lequel il vaut la peine de courir. Il mérite le Ballon d’Or car il est de loin le meilleur joueur du monde.»
Une surprise à prévoir ?
Si le Ballon d’Or 2005 devait ne pas être attribué à Ronaldinho, difficile d’imaginer qu’il puisse échapper aux quatre autres joueurs évoqués précédemment. Parmi eux, les deux brillants et charismatiques milieux de terrain anglais, Steven Gerrard et Frank Lampard, se dégagent. Le premier, capitaine et âme de Liverpool, champion d’Europe sortant, a eu l’ineffable mérite de galvaniser ses partenaires alors qu’ils étaient menés (3-0) par le grand Milan AC. Certains de ses coéquipiers ont même affirmé que c’est lui, plus que Rafael Benitez, l’entraîneur, qui a pris la parole et su trouver les mots justes dans les vestiaires du stade Ataturk d’Istanbul, théâtre de la finale de la Ligue des Champions 2005. Mieux que la communication, l’action : c’est lui qui inscrivit le premier des trois buts des Reds.
Pas moins de 23 anciens Ballon d'Or seront réunis à l'Espace Cardin pour assister au sacre du successeur d'Andrei Shevchenko, lauréat 2004. Au rang de grandissimes favoris, on retrouve le Brésilien Ronaldinho et les Anglais Steven Gerrard et Frank Lampard. Sept Français sont également en lice : Grégory Coupet, Zinédine Zidane, Claude Makelele, Lilian Thuram, David Trezeguet, Patrick Vieira et Thierry Henry. La fin du suspense est proche.
Ronaldinho, favori logique
Ronaldinho est donc le prétendant le plus crédible à l’obtention du Ballon d’Or 2005, événement orchestré depuis sa création, en 1956, par France Football. Désigné joueur de l’année 2004 par la FIFA, le Brésilien s’est, douze mois durant, surpassé pour décrocher cette récompense ultime, ou du moins la plus médiatique. Non seulement le génie auriverde a très grandement contribué à la victoire de Barcelone en Liga la saison dernière, mais en plus il a été un des principaux artisans du succès du Brésil lors de la Coupe des Confédérations, qui s’est tenue en juin dernier. Année 2005, jalonnée de nombreux autres faits d’armes de l’ancien Parisien. Il suffit de se remémorer son but marqué à Chelsea ou d’avoir admiré ses deux promenades décisives dans la défense madrilène, il y a neuf jours. Exploit qui eut, d’ailleurs, l’improbable effet de faire se lever tout le stade Bernabeu en son honneur. Autant de performances de premier ordre qui le placent comme le grandissime favori, par l’ensemble de la presse européenne, mais également par ses coéquipiers, comme Carles Puyol, pour qui : «Ronaldinho est le meilleur joueur du monde». Autre Barcelonais, son compatriote Juliano Belletti déclarait même pour Marca : «Ronaldinho est le type de joueur pour lequel il vaut la peine de courir. Il mérite le Ballon d’Or car il est de loin le meilleur joueur du monde.»
Une surprise à prévoir ?
Si le Ballon d’Or 2005 devait ne pas être attribué à Ronaldinho, difficile d’imaginer qu’il puisse échapper aux quatre autres joueurs évoqués précédemment. Parmi eux, les deux brillants et charismatiques milieux de terrain anglais, Steven Gerrard et Frank Lampard, se dégagent. Le premier, capitaine et âme de Liverpool, champion d’Europe sortant, a eu l’ineffable mérite de galvaniser ses partenaires alors qu’ils étaient menés (3-0) par le grand Milan AC. Certains de ses coéquipiers ont même affirmé que c’est lui, plus que Rafael Benitez, l’entraîneur, qui a pris la parole et su trouver les mots justes dans les vestiaires du stade Ataturk d’Istanbul, théâtre de la finale de la Ligue des Champions 2005. Mieux que la communication, l’action : c’est lui qui inscrivit le premier des trois buts des Reds.