Sergei
Buddha !
Le prof de Ghlin raconte devant nos caméras: 'Ils m'ont vraiment charcuté'
FAITS DIVERS jeu 2 oct "J'avais deux heures de sciences avec les 4es années section coiffure. Vers 3h, il y avait l'inter-cours, des élèves restaient tous seuls dans la classe voisine. J'ai entendu des bruits énormes, on claquait la porte. Après le 3e coup, je suis intervenu pour voir ce qui se passait et là, j'ai vu l'élève debout près de la porte et je lui ai demandé qu'il s'arrête. Il m'a répondu genre 'Ouais ouais, c'est bon comme ça'. Je me suis dirigé vers ma classe pour continuer le cours. J'ai entendu encore un bruit dans le couloir. Un élève m'a dit qu'il était parti chercher ses frères (..) Après une dizaine de minutes, ils sont rentrés à trois et ils commencé à me tabasser. Le plus costaud m'a donné un coup de poing sur le nez. Ils étaient acharnés, ils étaient prêts à tout, ils demandaient même pas d'explications. Ils m'ont vraiment charcuté" a indiqué Mohammed, ce matin de son lit d'hôpital, à notre journaliste Loïc Parmentier.
"Ils m'ont mis par terre et ils m'ont donné des coups de pieds. Un est venu de derrière, il m'a taillé le dos. En me levant, l'autre m'a taillé le visage (...) Tout ça devant mes élèves. J'avais 21 filles en pleurs, en larmes" a poursuivi Mohammed qui a indiqué qu'il ne dormait plus depuis deux jours et se montrait inquiet de savoir que ses agresseurs étaient toujours en liberté, de même que le jeune élève de 15 ans qui a pu dormir libre cette nuit car il n'y avait plus de places en IPPJ. Il a remercié ses élèves qui lui ont envoyé des lettres: "Elles m'ont beaucoup touché" a-t-il dit.
On a finalement trouvé une place en IPPJ pour le jeune élève
La ministre en charge de l'Aide à la jeunesse en Communauté française a annoncé qu'une place disponible en IPPJ (Institutions Publiques de Protection de la Jeunesse) avait été trouvée à Jumet. Pour expliquer le fait que le jeune élève à la base de l'agression sauvage d'un prof à Ghlin ait pu dormir libre cette nuit, madame Fonck a expliqué que l'Aide à la Jeunesse recevait plus de 50.000 mesures par an: "Il arrive qu'on ait plusieurs demandes en même temps et c'est vrai aussi qu'il n'y a pas assez de places dans les IPPJ" a-t-elle expliqué devant nos caméras.
Catherine Fonck a profité de l'entretien pour indiquer que de nouvelles places d'accueils allaient bientôt être disponibles. "J'ai convaincu le gouvernement de développer de nouvelles places d'accueil y compris en IPPJ. Les travaux sont en cours pour une nouvelle section de 10 places fermées à Wauthier-Braine qui permettra d'accueillir 80 mineurs par an. Par ailleurs, je suis en finalisation d'un accord avec le ministre de la Justice pour doubler la capacité actuelle d'Everberg qui ira s'installer à Saint-Hubert" a-t-elle déclaré (cliquez sur la photo pour regardez l'interview).
Mohammed N., 36 ans, était intervenus dans une classe de CEFA (formation professionnelle en alternance) pour éjecter un élève chahuteur. L'un des condisciples aurait alors crié: "Il va chercher son frère", selon le témoignage de la victime. Vers 15h30, alors que l'enseignant donnait cours à une vingtaine d'élèves de coiffure, deux individus âgés de 20 à 30 ans ont fait irruption dans sa classe. L'un des deux lui a aussitôt asséné un coup de poing, avant de l'empoigner sous les yeux effarés et les cris des élèves.
Pendant la bagarre, le complice est venu taillader le visage et le dos de l'enseignant à coups d'arme blanche, sans doute un cutter. Une fois à terre, la victime a encore reçu plusieurs coups de pieds, notamment au ventre.
Les auteurs ont ensuite pris la fuite et quitté les lieux à bord d'une voiture, manquant d'écraser les accompagnateurs de l'école qui les avaient poursuivis.
Originaire du Tournaisis, Mohammed N. a été admis aux CHR La Dorcas de Tournai, où les médecins lui ont appliqué 18 points de suture sur une balafre au visage longue de 7 cm. Deux entailles de 20 cm chacune lui strient le dos et il souffre de diverses contusions.
Rentré chez lui vers 19h00, il a été pris d'angoisse et a demandé en soirée à réintégrer les urgences, où il a souhaité passer la nuit. Encore sous examens, il devrait disposer de plus de dix jours d'incapacité.
source : http://www.rtlinfo.be/news/article/...evant+nos+caméras:+Ils+mont+vraiment+charcuté
.... scandaleux... tout simplement scandaleux .
Et dire qu'a 18ans , son casier sera vierge . J'espère cependant que les deux autres gus , eux , auront des peines qui ne sont pas des peines avec sursis .


FAITS DIVERS jeu 2 oct "J'avais deux heures de sciences avec les 4es années section coiffure. Vers 3h, il y avait l'inter-cours, des élèves restaient tous seuls dans la classe voisine. J'ai entendu des bruits énormes, on claquait la porte. Après le 3e coup, je suis intervenu pour voir ce qui se passait et là, j'ai vu l'élève debout près de la porte et je lui ai demandé qu'il s'arrête. Il m'a répondu genre 'Ouais ouais, c'est bon comme ça'. Je me suis dirigé vers ma classe pour continuer le cours. J'ai entendu encore un bruit dans le couloir. Un élève m'a dit qu'il était parti chercher ses frères (..) Après une dizaine de minutes, ils sont rentrés à trois et ils commencé à me tabasser. Le plus costaud m'a donné un coup de poing sur le nez. Ils étaient acharnés, ils étaient prêts à tout, ils demandaient même pas d'explications. Ils m'ont vraiment charcuté" a indiqué Mohammed, ce matin de son lit d'hôpital, à notre journaliste Loïc Parmentier.
"Ils m'ont mis par terre et ils m'ont donné des coups de pieds. Un est venu de derrière, il m'a taillé le dos. En me levant, l'autre m'a taillé le visage (...) Tout ça devant mes élèves. J'avais 21 filles en pleurs, en larmes" a poursuivi Mohammed qui a indiqué qu'il ne dormait plus depuis deux jours et se montrait inquiet de savoir que ses agresseurs étaient toujours en liberté, de même que le jeune élève de 15 ans qui a pu dormir libre cette nuit car il n'y avait plus de places en IPPJ. Il a remercié ses élèves qui lui ont envoyé des lettres: "Elles m'ont beaucoup touché" a-t-il dit.
On a finalement trouvé une place en IPPJ pour le jeune élève
La ministre en charge de l'Aide à la jeunesse en Communauté française a annoncé qu'une place disponible en IPPJ (Institutions Publiques de Protection de la Jeunesse) avait été trouvée à Jumet. Pour expliquer le fait que le jeune élève à la base de l'agression sauvage d'un prof à Ghlin ait pu dormir libre cette nuit, madame Fonck a expliqué que l'Aide à la Jeunesse recevait plus de 50.000 mesures par an: "Il arrive qu'on ait plusieurs demandes en même temps et c'est vrai aussi qu'il n'y a pas assez de places dans les IPPJ" a-t-elle expliqué devant nos caméras.
Catherine Fonck a profité de l'entretien pour indiquer que de nouvelles places d'accueils allaient bientôt être disponibles. "J'ai convaincu le gouvernement de développer de nouvelles places d'accueil y compris en IPPJ. Les travaux sont en cours pour une nouvelle section de 10 places fermées à Wauthier-Braine qui permettra d'accueillir 80 mineurs par an. Par ailleurs, je suis en finalisation d'un accord avec le ministre de la Justice pour doubler la capacité actuelle d'Everberg qui ira s'installer à Saint-Hubert" a-t-elle déclaré (cliquez sur la photo pour regardez l'interview).
RAPPEL DES FAITS
Mohammed N., 36 ans, était intervenus dans une classe de CEFA (formation professionnelle en alternance) pour éjecter un élève chahuteur. L'un des condisciples aurait alors crié: "Il va chercher son frère", selon le témoignage de la victime. Vers 15h30, alors que l'enseignant donnait cours à une vingtaine d'élèves de coiffure, deux individus âgés de 20 à 30 ans ont fait irruption dans sa classe. L'un des deux lui a aussitôt asséné un coup de poing, avant de l'empoigner sous les yeux effarés et les cris des élèves.
Pendant la bagarre, le complice est venu taillader le visage et le dos de l'enseignant à coups d'arme blanche, sans doute un cutter. Une fois à terre, la victime a encore reçu plusieurs coups de pieds, notamment au ventre.
Les auteurs ont ensuite pris la fuite et quitté les lieux à bord d'une voiture, manquant d'écraser les accompagnateurs de l'école qui les avaient poursuivis.
Originaire du Tournaisis, Mohammed N. a été admis aux CHR La Dorcas de Tournai, où les médecins lui ont appliqué 18 points de suture sur une balafre au visage longue de 7 cm. Deux entailles de 20 cm chacune lui strient le dos et il souffre de diverses contusions.
Rentré chez lui vers 19h00, il a été pris d'angoisse et a demandé en soirée à réintégrer les urgences, où il a souhaité passer la nuit. Encore sous examens, il devrait disposer de plus de dix jours d'incapacité.
source : http://www.rtlinfo.be/news/article/...evant+nos+caméras:+Ils+mont+vraiment+charcuté
.... scandaleux... tout simplement scandaleux .
Et dire qu'a 18ans , son casier sera vierge . J'espère cependant que les deux autres gus , eux , auront des peines qui ne sont pas des peines avec sursis .