Démarche suicidaire ? Excès de confiance ? Ou opération marketing ? Toujours est-il que Alistair Baker, vice président de la filiale anglaise de Microsoft, lance un défi aux hackers.
Le courageux employé appelle les hackers à essayer de percer les défenses du SP2 de Windows XP. Il a ajouté qu’il serait très impressionné si l’un d’entre eux arrivait à se jouer des défenses du super patch de Windows XP.
Comme ça ne lui suffisait pas encore, il a annoncé fièrement que le SP2 était "la première trace d’une grande ligne de défense contre les brèches de sécurité et le spam" (?).
Pour l’instant, on est surtout impressionné par le courage (ou l’inconscience) de l’employé de Microsoft, qui sera certainement viré dès qu’un hacker aura réussi à "l’impressioner".
La déclaration fait particulièrement rire lorsqu’on lit l’article de The Register qui, pas vraiment convaincu, analyse le SP2 comme un "placebo" de la sécurité.
L'homme en question:
Source:Vtr-hardware.com
Le courageux employé appelle les hackers à essayer de percer les défenses du SP2 de Windows XP. Il a ajouté qu’il serait très impressionné si l’un d’entre eux arrivait à se jouer des défenses du super patch de Windows XP.
Comme ça ne lui suffisait pas encore, il a annoncé fièrement que le SP2 était "la première trace d’une grande ligne de défense contre les brèches de sécurité et le spam" (?).
Pour l’instant, on est surtout impressionné par le courage (ou l’inconscience) de l’employé de Microsoft, qui sera certainement viré dès qu’un hacker aura réussi à "l’impressioner".
La déclaration fait particulièrement rire lorsqu’on lit l’article de The Register qui, pas vraiment convaincu, analyse le SP2 comme un "placebo" de la sécurité.
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