Question idiote sur cable réseux

Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.

troubleur

Elite
Bonsoir,
J'ai une petite question bête , j'aimerai connaitre le temps de propagation de ces cables réseaux .
Coaxial Fin 185m
Coaxial Gros 500 m
Paire Torsadée 100 m
Fibre Optique 1000m
j'ai essayer google mais cela na pas ete tres fructueux ...
MErci
 
S

[So]_Tox

ex membre
c est clair que c est une bete question :/ :shock:
 
1er
OP
troubleur

troubleur

Elite
Ou alors , le temps de propagation s'exprime en quoi?
 
S

[So]_Tox

ex membre
mo/sec ? ko/sec ?
 

SkankerS

Yippee Ki Yay
Qu'est-ce que t'appelle temps de propagation ? le temps que mettent les donnée pour "traversé" toute la longueur du cable ? sa doit s'exprimer en bit/seconde sa non ??? :?
 
1er
OP
troubleur

troubleur

Elite
PKS-Pennywise a dit:
Qu'est-ce que t'appelle temps de propagation ? le temps que mettent les donnée pour "traversé" toute la longueur du cable ? sa doit s'exprimer en bit/seconde sa non ??? :?
Justement c'est ca que je me demande.
Mais a mon avis ca doit etre ca
 
S

[So]_Tox

ex membre
de rien :?
 

SkankerS

Yippee Ki Yay
Wai en gros c'est des valeurs en Bps que tu cherche ! Les cables rj45 c'est 10Mbps sur une distance de 100m maximum ! Les autres ya surement un calcul a faire tiens regarde ici tu devrai trouver une partie de ton bonheur :wink:

Comment ça marche : Cablage
 

matrix

Touriste
Voilà, je te fait une copie de mon travail de fin d'étude de mon cour CCNA

j'espère que cela pourra t'aider

Timing Ethernet
Les notions de temps dans les technologies Ethernet Half-duplex sont d'une importance capitale. Elles permettent également de préciser le mécanisme de reprise de transmision (Backoff) pour la ou les cartes réseaux impliquées dans une collision. Le succès d'Ethernet est d'avoir gardé une compatibilité totale qu'elle qu'ait été l'évolution croissante des vitesses sur différents supports, notamment grâce à un mécanisme d'adaption (négociation).
1. Unité de mesure indépendante de la vitesse : le bit time.Le bit time est l'unité de mesure de référence dans le calcul des délais Ethernet. En fonction de la vitesse de la technologie cette notion absolue, « transmettre un bit en un temps », donnera un délai concret :
Considérant que 1 seconde = 0,000001 µs = 0,000000001 ns,
10 Mbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,1 µs ou en 100 ns ;
100 Mbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,01 µs ou en 10 ns ;
1 Gbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,001 µs ou en 1 ns.
Grâce à cette unité de mesure, les valeurs resteront identiques quelle que soit la vitesse de la technologie.
2. CSMA/CD dans les technologies Ethernet Half-Duplex 10 Mbps.Il est important d'avoir à l'esprit que le mécanisme ici présenté concerne les premières technologies Ethernet en Half-Duplex où le phénomène des collisions est inhérent sur un médium physique partagé.
2.1. Détection de la porteuse
Chaque station souhaitant émettre détecte si il y a absence de porteuse. En cas contraire, le média est déjà pris. Dès que l'absence de porteuse est constatée, autrement dit, dès qu'il y a silence, la carte réseau continue à attendre dans un délai minimum de 96 bit time (9,6 µs). Ce délai est appelé le Interframe Gap Spacing (IFG). Il correspond à la place minimale entre deux trames sans erreurs de collision, la place nécessaire entre le dernier bit du champ FCS et le premier bit du champ preambule de la trame suivante.
2.2. La transmission

Après l'IGF, à condition qu'il y ait toujours absence de porteuse, la carte réseau commence à transmettre. Si aucune collision n'est détectée, la station considère que la transmission s'est déroulée avec succès.
Une collision est détectée localement par une carte émettrice si il y a une augmentation de l'amplitude du signal, sur du câble coaxial, ou sur de la paire torsardée (en Half-Duplex), si les deux paires RX et TX sont utilisées simultanément.
En cas de collision, ce sont seulement les cartes émettrices, nécessairement impliquées, qui agissent. Elles renforcent la collision en émettant un signal de bourrage (jam signal) d'une longueur de 32 bits. Cette trame est remplie d'une suite de 1 et de 0 binaires. Dans un logiciel d'analyse, on aura une suite de 0xA (1010 binaire) ou de 0x5 (101 binaire). Si la collision est détectée pendant la transmission du préambule (64 bits de 1 et 0), les 32 bits de bourrage y sont ajoutés. L'algorithme Back-Off entre alors en jeu pour la reprise de la transmission.
Les cartes réseau vont considérer que si aucune collision n'est détectée endéans un délai de 512 bit time (autrement dit après l'envoi des 64 premiers octets en 51,2 µs sur du 10 Mbps), le canal est acquis et aucune collision tardive ne peut intervenir sur un réseau bien conçu (respectant les normes).
2.3. La détection de collision et le slot time.
Les collisions apparaissent sur un réseau Half-Duplex à cause du partage d'un média. Elles sont possibles car la transmission d'un signal prend un certain délai de propagation. Le slot-time est défini à 512 bit-time sur du 10 Mbps et 100 Mbps Ethernet. Il est déterminé par le temps moyen maximal théorique de la transmission d'un symbole d'une extrémité à l'autre du réseau. Dans cette fourchette de temps, deux stations pourraient émettre en même temps alors qu'aucune porteuse n'aurait été détectée ! Il s'ensuivrait des collisions. Etant donné que le champ data d'une trame doit être au minimum de 46 octets et que les champs d'en-tête ont une longueur fixe de 22 octets, on considérera qu'une trame valide aura toujours au moins une longueur de 512 bits, le slot time.
2.4. L'algorithme Backoff
L'algorithme Backoff est un mécanisme qui permet de faire en sorte que deux ou plusieurs stations impliquées dans une collision retransmettent leur trame dans des délais différents générés de manière aléatoire. En fonction, du nombre d'essais de retransmission (15 maximum, le seizième jette la trame), la fourchette de délais de reprise grandit de manière exponentielle. Cette fourchette va de zéro à un nombre entier multiplié par le slot time.
Ce nombre entier est calculé comme suit :

0 =< a < 2 exp k où k = min(n,10)

La variable k est le nombre de collisions intervenues (le nombre d'essais) dans un maximum de 10. La variable a peut prendre une valeur aléatoire entre 0 et 1023 quand k = 10. On voit dans le tableau ci-dessous que les temps de backoff vont croître de manière exponentielle après un nombre consécutifs de collisions. En fonction du nombre d'essai, on peut estimer le nombre de stations impliquées. Dnas un cas estimé de plus de 1023 stations impliquées, on estime que la situation a dépassé des limites raisonables d'un réseau performant.


Essai
Nombre estimé de stations impliquées
Plage de nombre aléatoire
Plage de délais Backoff (µs)

1
1
0 ... 1
0 ... 51,2

2
3
0 ... 3
0 ... 153,6

3
7
0 ... 7
0 ... 358,4

4
15
0 ... 15
0 ... 768,0

5
31
0 ... 31
0 ... 1587,2

6
63
0 ... 63
0 ... 3225,6

7
127
0 ... 127
0 ... 6502,4

8
255
0 ... 255
0 ... 13056,0

9
511
0 ... 511
0 ... 26163,2

10
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

11
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

12
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

13
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

14
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

15
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

16
/
/
Trame jetée





3. La nature des collisions
On trouvera trois types de collisions.
Primo, une collision locale est une collision détectée sur un segment physique telle que les cartes réseau la détecte dans le cadre du mécanisme CSMA/CD décrit ci-dessus. Elle intervient avant la transmission des 64 premiers octets.
Deusio, une collision distante est une collision qui ne dispose pas d'une longueur minimale de 64 octets et dont le champ FCS est invalide à la vérification du récepteur mais qui n'est pas détectée en tant que collision locale (activité simultanée RX et TX, augmentation d'amplitude du signal). En général, ce type de collision intervient au-delà du matériel intermédiaire tel qu'un hub ou un répéteur. Elle intervient avant la transmission des 64 premiers octets. C'est l'erreur la plus courante sur les réseaux UTP.
Tertio, une collision tardive est la seule qui intervient après les 64 premiers octets. Ce type de collision est ignorée par les cartes réseau et intervient dans le cas où les stations sont trop éloignées physiquement pour détecter une collision. La respect de la règle 5-4-3-2-1, -cinq segments physiques, quatre répéteurs, trois segments occupés par des stations, 2 segments de liaison entre répéteurs et un seul domaine de collision- permet d'éviter les collisions tardives.
En fait, les sources de latence, principalement les cartes réseaux, le support lui-même et les matériels intermédiaires ont leur limite de propagation et de re-synchronisation du signal. Ces limites physiques sont vulgarisées dans la règle.
4. Fast Ethernet Full-Duple:cool:ans un contexte où un canal serait dédié à la transmission TX et un autre à la réception RX dans un réseau commuté, aucune collision (sauf d'éventuelles tardives) ne peuvent arriver. Cette 'nouveauté' bien actuelle élimine la problématique obsolète vue ci-dessus. L'utilisation d'un mécanisme Full-Duplex associé aux capacités croissantes en bande passante a fait d'Ethernet une technologie de plus en plus fiable, facile à implémenter et à utiliser, de moindre coût et standardisée.
Un autre facteur de succès des technologies Ethernet est leur capacité à assurer une compatibilité entre les différentes évolutions. Outre le respect du format des trames, cette compatibilité est assurée par un mécanisme d'auto-négociation assuré par l'envoi régulier d'un signal «link pulse» qui permet aux stations de déterminer dans un ordre précis avec une négociation progressive, allant de la technologie la plus faible à la plus récente, le type de communication commune en vitesse et en mode Half- ou Full- duplex. Toutefois, en fonction des pilotes développés pour les chipsets des cartes réseaux, ils reste possible de forcer par logiciel le type de communication.
En ce qui concerne le format de trame, le champ preambule qui est utile à la synchronisation dans un contexte de transmission asynchrone (Half-Duplex) devient redondant et inutile mais a été gardé dans la perspective d'une inter-opérabilité des technologies.
5. Annexes5.1. Caractéristiques générales du protocole Ethernet

5.2. La structure d'une trame Ethernet
Ethernet II DIX Frame
64 bits 48 bits 48 bits 16 bits 368 to 12000 bits
(46 to 1500 bytes) 32 bits
Preamble Individual / Group Address Bit Destination Address Source Address Type Data Frame Check Sequence



IEEE 802.3 Frame
56 bits 8 bits 48 bits 48 bits 16 bits 368 to 12000 bits
(46 to 1500 bytes) 32 bits
Preamble SFD Individual/ Group Address Bit Globally/ Locally Administered Address Bit Destination Address Source Address Length LLC/Data Frame Check Sequence

6. SourcesComme source d'informations complémentaires, on conseillera vivement le site de l'Industrial Ethernet University.
 

baRman

Touriste
So-Tox a dit:
mo/sec ? ko/sec ?
là tu parles débit alors.

Un temps de propagation => seconde
la capacité du cable (son débit quoi) => ko/sec, ou bps, ou n'importe quel unité qui traite de bite par seconde.

Le temps de propagation doit etre sensiblement le meme pour chaque type de cable (c'est jamais qu'un bout de métal qui transmet un signal).
Mtnt le débit de chaque cable est différent, pcq technologie différente.

Le cat5 UTP (unshield torsaded pairs) => 10 à 100Mbits/s (1Gbit meme mtnt)
Le coaxial avec connecteur BNC (ce que tu appelles "gros) => 10 à 100Mbits/s
Fibre optique, j'ai pas le chiffre exacte, mais si je dis pas de betises, tu as le 400Mbits/s de base, et tu sais faire bcp plus, c'est ce qui va le plus vite (mais aussi le plus cher)

Pour finir, je ne sais pas trop dans quel but tu poses la question, mais meme si je BNC et l'UTP affiche des vitesses identiques, la technologie et le mode de transmission n'a rien avoir (topologie en anneau pour le BNC, en étoile (avec un concentrateur) pour l'UTP)
 
matrix a dit:
Voilà, je te fait une copie de mon travail de fin d'étude de mon cour CCNA

j'espère que cela pourra t'aider

Timing Ethernet
Les notions de temps dans les technologies Ethernet Half-duplex sont d'une importance capitale. Elles permettent également de préciser le mécanisme de reprise de transmision (Backoff) pour la ou les cartes réseaux impliquées dans une collision. Le succès d'Ethernet est d'avoir gardé une compatibilité totale qu'elle qu'ait été l'évolution croissante des vitesses sur différents supports, notamment grâce à un mécanisme d'adaption (négociation).
1. Unité de mesure indépendante de la vitesse : le bit time.Le bit time est l'unité de mesure de référence dans le calcul des délais Ethernet. En fonction de la vitesse de la technologie cette notion absolue, « transmettre un bit en un temps », donnera un délai concret :
Considérant que 1 seconde = 0,000001 µs = 0,000000001 ns,
10 Mbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,1 µs ou en 100 ns ;
100 Mbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,01 µs ou en 10 ns ;
1 Gbps correspond à la transmission de 1 bit en 0,001 µs ou en 1 ns.
Grâce à cette unité de mesure, les valeurs resteront identiques quelle que soit la vitesse de la technologie.
2. CSMA/CD dans les technologies Ethernet Half-Duplex 10 Mbps.Il est important d'avoir à l'esprit que le mécanisme ici présenté concerne les premières technologies Ethernet en Half-Duplex où le phénomène des collisions est inhérent sur un médium physique partagé.
2.1. Détection de la porteuse
Chaque station souhaitant émettre détecte si il y a absence de porteuse. En cas contraire, le média est déjà pris. Dès que l'absence de porteuse est constatée, autrement dit, dès qu'il y a silence, la carte réseau continue à attendre dans un délai minimum de 96 bit time (9,6 µs). Ce délai est appelé le Interframe Gap Spacing (IFG). Il correspond à la place minimale entre deux trames sans erreurs de collision, la place nécessaire entre le dernier bit du champ FCS et le premier bit du champ preambule de la trame suivante.
2.2. La transmission

Après l'IGF, à condition qu'il y ait toujours absence de porteuse, la carte réseau commence à transmettre. Si aucune collision n'est détectée, la station considère que la transmission s'est déroulée avec succès.
Une collision est détectée localement par une carte émettrice si il y a une augmentation de l'amplitude du signal, sur du câble coaxial, ou sur de la paire torsardée (en Half-Duplex), si les deux paires RX et TX sont utilisées simultanément.
En cas de collision, ce sont seulement les cartes émettrices, nécessairement impliquées, qui agissent. Elles renforcent la collision en émettant un signal de bourrage (jam signal) d'une longueur de 32 bits. Cette trame est remplie d'une suite de 1 et de 0 binaires. Dans un logiciel d'analyse, on aura une suite de 0xA (1010 binaire) ou de 0x5 (101 binaire). Si la collision est détectée pendant la transmission du préambule (64 bits de 1 et 0), les 32 bits de bourrage y sont ajoutés. L'algorithme Back-Off entre alors en jeu pour la reprise de la transmission.
Les cartes réseau vont considérer que si aucune collision n'est détectée endéans un délai de 512 bit time (autrement dit après l'envoi des 64 premiers octets en 51,2 µs sur du 10 Mbps), le canal est acquis et aucune collision tardive ne peut intervenir sur un réseau bien conçu (respectant les normes).
2.3. La détection de collision et le slot time.
Les collisions apparaissent sur un réseau Half-Duplex à cause du partage d'un média. Elles sont possibles car la transmission d'un signal prend un certain délai de propagation. Le slot-time est défini à 512 bit-time sur du 10 Mbps et 100 Mbps Ethernet. Il est déterminé par le temps moyen maximal théorique de la transmission d'un symbole d'une extrémité à l'autre du réseau. Dans cette fourchette de temps, deux stations pourraient émettre en même temps alors qu'aucune porteuse n'aurait été détectée ! Il s'ensuivrait des collisions. Etant donné que le champ data d'une trame doit être au minimum de 46 octets et que les champs d'en-tête ont une longueur fixe de 22 octets, on considérera qu'une trame valide aura toujours au moins une longueur de 512 bits, le slot time.
2.4. L'algorithme Backoff
L'algorithme Backoff est un mécanisme qui permet de faire en sorte que deux ou plusieurs stations impliquées dans une collision retransmettent leur trame dans des délais différents générés de manière aléatoire. En fonction, du nombre d'essais de retransmission (15 maximum, le seizième jette la trame), la fourchette de délais de reprise grandit de manière exponentielle. Cette fourchette va de zéro à un nombre entier multiplié par le slot time.
Ce nombre entier est calculé comme suit :

0 =< a < 2 exp k où k = min(n,10)

La variable k est le nombre de collisions intervenues (le nombre d'essais) dans un maximum de 10. La variable a peut prendre une valeur aléatoire entre 0 et 1023 quand k = 10. On voit dans le tableau ci-dessous que les temps de backoff vont croître de manière exponentielle après un nombre consécutifs de collisions. En fonction du nombre d'essai, on peut estimer le nombre de stations impliquées. Dnas un cas estimé de plus de 1023 stations impliquées, on estime que la situation a dépassé des limites raisonables d'un réseau performant.


Essai
Nombre estimé de stations impliquées
Plage de nombre aléatoire
Plage de délais Backoff (µs)

1
1
0 ... 1
0 ... 51,2

2
3
0 ... 3
0 ... 153,6

3
7
0 ... 7
0 ... 358,4

4
15
0 ... 15
0 ... 768,0

5
31
0 ... 31
0 ... 1587,2

6
63
0 ... 63
0 ... 3225,6

7
127
0 ... 127
0 ... 6502,4

8
255
0 ... 255
0 ... 13056,0

9
511
0 ... 511
0 ... 26163,2

10
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

11
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

12
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

13
1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

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1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

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1023
0 ... 1023
0 ... 53377,6

16
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Trame jetée





3. La nature des collisions
On trouvera trois types de collisions.
Primo, une collision locale est une collision détectée sur un segment physique telle que les cartes réseau la détecte dans le cadre du mécanisme CSMA/CD décrit ci-dessus. Elle intervient avant la transmission des 64 premiers octets.
Deusio, une collision distante est une collision qui ne dispose pas d'une longueur minimale de 64 octets et dont le champ FCS est invalide à la vérification du récepteur mais qui n'est pas détectée en tant que collision locale (activité simultanée RX et TX, augmentation d'amplitude du signal). En général, ce type de collision intervient au-delà du matériel intermédiaire tel qu'un hub ou un répéteur. Elle intervient avant la transmission des 64 premiers octets. C'est l'erreur la plus courante sur les réseaux UTP.
Tertio, une collision tardive est la seule qui intervient après les 64 premiers octets. Ce type de collision est ignorée par les cartes réseau et intervient dans le cas où les stations sont trop éloignées physiquement pour détecter une collision. La respect de la règle 5-4-3-2-1, -cinq segments physiques, quatre répéteurs, trois segments occupés par des stations, 2 segments de liaison entre répéteurs et un seul domaine de collision- permet d'éviter les collisions tardives.
En fait, les sources de latence, principalement les cartes réseaux, le support lui-même et les matériels intermédiaires ont leur limite de propagation et de re-synchronisation du signal. Ces limites physiques sont vulgarisées dans la règle.
4. Fast Ethernet Full-Duple:cool:ans un contexte où un canal serait dédié à la transmission TX et un autre à la réception RX dans un réseau commuté, aucune collision (sauf d'éventuelles tardives) ne peuvent arriver. Cette 'nouveauté' bien actuelle élimine la problématique obsolète vue ci-dessus. L'utilisation d'un mécanisme Full-Duplex associé aux capacités croissantes en bande passante a fait d'Ethernet une technologie de plus en plus fiable, facile à implémenter et à utiliser, de moindre coût et standardisée.
Un autre facteur de succès des technologies Ethernet est leur capacité à assurer une compatibilité entre les différentes évolutions. Outre le respect du format des trames, cette compatibilité est assurée par un mécanisme d'auto-négociation assuré par l'envoi régulier d'un signal «link pulse» qui permet aux stations de déterminer dans un ordre précis avec une négociation progressive, allant de la technologie la plus faible à la plus récente, le type de communication commune en vitesse et en mode Half- ou Full- duplex. Toutefois, en fonction des pilotes développés pour les chipsets des cartes réseaux, ils reste possible de forcer par logiciel le type de communication.
En ce qui concerne le format de trame, le champ preambule qui est utile à la synchronisation dans un contexte de transmission asynchrone (Half-Duplex) devient redondant et inutile mais a été gardé dans la perspective d'une inter-opérabilité des technologies.
5. Annexes5.1. Caractéristiques générales du protocole Ethernet

5.2. La structure d'une trame Ethernet
Ethernet II DIX Frame
64 bits 48 bits 48 bits 16 bits 368 to 12000 bits
(46 to 1500 bytes) 32 bits
Preamble Individual / Group Address Bit Destination Address Source Address Type Data Frame Check Sequence



IEEE 802.3 Frame
56 bits 8 bits 48 bits 48 bits 16 bits 368 to 12000 bits
(46 to 1500 bytes) 32 bits
Preamble SFD Individual/ Group Address Bit Globally/ Locally Administered Address Bit Destination Address Source Address Length LLC/Data Frame Check Sequence

6. SourcesComme source d'informations complémentaires, on conseillera vivement le site de l'Industrial Ethernet University
.

:shock:


J'ai pas tout lu, mais je te crois.





Vite, une aspirine ou une corde pour me pendre. :!:
 

matrix

Touriste
lol

maintenant si tu veux explication technique j'ai du étudier ça aussi

mais bon on va pas arrêter si non

l'idéal est de nous dire réelement ce que tu veux


Design Ethernet Cet article identifie une série de contraintes que l'on doit considérer lorsqu'on implémente les différentes technologies Ethernet.
Ethernet est l'une des technologies de base les plus employées dans les LANs. Dans les années '80 et au début des années '90, la plupart des LANs utilisaient du 10Mbps Ethernet, défini au départ par Digital, Intel et Xerox (DIX Ethernet Version II) et, plus tard, par le Groupe de Travail 802.3. Le standard IEEE 802.3-2002 comporte des spécifications physiques pour les technologies Ethernet jusque 1000Mbps. Le tableau suivant décrit ces spécifications :
X 10BASE5 10BASE2 10BASE-T 100BASE-T
Media Coaxial épais
(TickEthernet) Coaxial fin
(ThinEthernet) Cable à paire torsadée Cable à paire torsadée
Topologie physique Bus Bus Etoile Etoile
Longueur maximale
de segment 500 m 185 m 100 m 100 m
Nombre maximal
d'attachements par segments 100 30 2 (hub et station ou hub-hub) 2 (hub et station ou hub-hub)
Domaine de collision maximal 2500 m de 5 segments et 4 répéteurs; seulement 3 segments peuplés 2500 m de 5 segments et 4 répéteurs; seulement 3 segments peuplés 500 m de 5 segments et 4 répéteurs; seulement 3 segments peuplés voir les détails dans la section Design Fast Ethernet 100Mbps


La règle de conception est celle qui signifie que le délai de propagation de retour (round-trip propagation delay) dans un domaine de collision ne peut pas excéder 512 bit times, ce qui est absolument nécessaire pour que la détection de collision puisse fonctionner correctement (voir l'article intitulé "Timing Ethernet").
Design 10Mbps sur FibreLe tableau suivant fournit quelques règles de conduite en matière de d'Ethernet 10Mbps sur fibre. Le standard 10BASE-FP utilise une topologie en étoile passive. Le standard 10BASE-FB concerne le backbone ou un système basé sur des répéteurs. Le standard 10BASE-FL fournit les spécifications pour liens en fibre.
x 10BASE-FP 10BASE-FB 10BASE-FL
Topologie physique Etoile passif Backbone ou système répéteurs Liens
Longueur maximale
de segment 500 m 2000 m 1000 ou 2000 m
Permet des répéteurs en cascade ? Non Oui Non
Domaine de collision maximal 2500 m 2500 m 2500 m

Design 100Mbps Fast EthernetL'IEEE a introduit le standard IEEE 802.3u-1995 pour fournir un débit de 100Mbps sur du câble UTP ou de la fibre. Le standard 100BASE-T est similaire au 10Mbps Ethernet parce qu'il utilise CSMA/CD pour le partage du media, fonctionne sur du câble UTP de Catégorie (CAT) 3, 4 et 5, et utilise le même format de trame. La connectivité est assurée par des hubs, des répéteurs et des bridges.
Les contraintes du Fast Ethernet sont légèrement différentes à cause de la vitesse. En effet le délai de propoagation sera 10 fois plus rapide (5,12 microsecondes) qu'en Ethernet 10Mbps (51,2 microsecondes).
Voici un aperçu comparatif des technologies FastEthernet : X 100BASE-TX 100BASE-T4 100BASE-FX
Media UTP CAT 5 ou STP CAT 1
Deux paires utilisées
UTP CAT 3, 4 et 5
Trois paires pour la transmission et la quatrième pour la détection de collision
pas de Full-Duplex
Fibre monomode ou fibre multimode

Connectique RJ-45 RJ-45 MIC, ST (Stab & Twist) ou SC (Stab & Click)
codage 4B5B 8B6T 4B5B
Longueur maximal d'un segment 100 m 100 m 400 m

Répéteurs 100BASE-TEn 100Mbps, les limites de distance sont plus sévères qu'en 10Mbps. Pour les réseaux répétés 100Mbps, il n'y a plus de règle 5-4-3; Fast Ethernet est limité par deux répéteurs. La règle générale est celle qui limite le domaine de collision à 205 m avec du câble UTP. A noter que quelle que soit la technologie sur un réseau UTP commuté la distance est limitée à 100 m entre l'hôte et le switch ou entre des switches.
La limite de distance dépend du type de répéteur. La spécification IEEE 100BASE-T désigne deux types de répéteurs : Class I et Class II. Les répéteurs de Class I ont une latence (délai) de 0,7 microsecondes ou moins. Seulement un saut de répéteur est permis. Les répéteurs de Class II ont une latence 0,46 microsecondes ou moins. Un ou deux sauts de répéteurs sont alors permis.
X Cuivre Mélange Fibre multimode et cuivre Fibre multimode
DTE-DTE
(Switch-Switch) 100 m X 412 m (2000 m si Full Duplex)
1 répéteur Class I 200 m 260 m 272 m
1 répéteur Class II 200 m 308 m 320 m
2 répéteurs Class II 205 m 216 m 228 m

Design Gigabit EthernetGigabit Ethernet permet une vitesse de 1000Mbps. Il est spécifié par deux standards : IEEE 802.3e-1998 et IEEE 802.3ab-1999. Le standard IEEE 802.3z spécifie les opérations du Gigabit Ethernet sur la fibre et sur le cable coaxial, et introduit la couche Gigabit Media Independant Interface (GMII). Le standard IEEE 802.3ab spécifie les opérations du Gigabit Ethernet sur du câble UTP CAT 5. Le format et la taille des trames restent les mêmes; il utilise toujours CSMA/CD, le Full-Duplex reste possible. Les principales différences sont au niveau du codage du signal.
Type Vitesse Longueur maximal
par segment Codage Media
1000BASE-T 1000 Mbps 100 m Five-level Cat 5 UTP
4 paires utilisées
1000BASE-LX
(Long Wave)
1000 Mbps 440 m (mutilmode 62,5 microm)
550 m (mutilmode 50 microm)
5 km (monomode 9 microm)
8B10B
(simple NRZ) Fibre mono- ou multimode
1000BASE-SX
(Short Wave) 1000 Mbps 220 m (mutilmode 62,5 microm)
500 m (mutilmode 50 microm)

8B10B
(simple NRZ)
Fibre multimode
1000BASE-CX 1000 Mbps 25 m 8B10B
(simple NRZ)
Shielded balanced copper

10 Gigabit EthernetL'IEEE 802.3ae, publié en août 2002, spécifie le standard pour le 10Gbps Ethernet. Il ne s'utilise que sur de la fibre optique en Full-Duplex. Il permet d'utiliser des trames Ethernet sur des distances rencontrées dans les MANs et les WANs sur plusieurs dizaines de kilomètres (5 à 40 Km). Plus d'informations sont disponibles sur le site de 10 Gigabit Alliance http://www.10gea.org .
Fast EtherChannelUne solution Cisco EtherChannel est une méthode pour augmenter la bande passante entre deux système en agrégeant des liens
 
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