Alalalalalala, Axel44 et ses fameux conseils. Le mec qui idolâtre les études universitaires comme étant le réel aboutissement et qui n'a que comme vision le marché de l'emploi du secteur public.
Et pas mal ton aveu en fait, tu sous-entends que dans le public, peut importe tes compétences, c'est le diplôme qui compte ? Je commence à mieux comprendre certaines choses ...
Déjà pour commencer, sache que historien ainsi que tout ce qui est plus ou moins proche par essence (archéologue, historien de l'art, archiviste, bibliothécaire, anthropologue, sociologue, etc...) sont typiquement des emplois du secteur public qui n'intéresse guère le privé (car difficile d'aller "tirer du fric" du patrimoine ou de la mémoire n'est ce pas ?)
Ensuite je ne sous-entend rien; je t'en prie consultes donc les offres d'emploi Selor, recutement.wallonie.be, jobcom.be, etc.. et autres et tu constateras que bien souvent les conditions de recrutements demandées pour les fonctions managériales demandent un niveau universitaire, sans orientation particulière (surtout pour les postes administratifs).
Genre comme ça juste un exemple : pour être recruté commissaire de police en externe, il faut juste posséder un titre universitaire mais sans orientation particulière; donc un historien ou sociologue peut très bien postuler.
Nice conseil que tu donnes là mec. "Vas-y fais les études que t'aimes, après de toute façon tu pourras faire un master 60 en gestion (je parlerai pas du niveau de ce genre de master) pr avoir un background utile". Pq pas directement faire des études utiles du coup ?
Et c'est quoi le soucis avec ce diplôme (qui est le mien au passage) ??? J'aimerai bien savoir histoire de dormir moins con.
Le niveau est en dessous de polytech, médecine, etc... ça ok mais dans tous les cas question "niveau" ça surclasse de très loin un bac de haute école.
Pourquoi ne pas faire directement des études utiles ?
Déjà parce qu'il est important avant tout de faire ce que l'on aime (donc l'histoire) comme études et qu'un apport en gestion (d'un an seulement hein; c'est pas comme s'il se retapait un cycle complet) lui donnera une bonne corde supplémentaire à son arc vu qu'il pourra justifier de posséder des compétences managériales en matière de gestion (finances, marketing, compta, rh, économie, ...).
Et pcq tu crois que dans 5 ans, le marché de l'emploi va évoluer de manière à ce qu'on doive recruter mass historiens de l'art ou socilogue ?!
Ce sont des études de niche.
Ce n'est pas ce que j'ai dis non plus; l'erreur c'est de se focaliser sur le marché de l'emploi maintenant qui aura certainement évolué depuis la crise que nous connaissons.
Peut-être que d'ici là la crise sera passée, plus de moyens et subventions seront alloués à l'associatif, au patrimoine et au culturel qui feront qu'il y aura peut-être une embellie pour ce type de débouchés.
Alors oui, il vaut mieux faire des études que l'on aime, mais il ne faut pas croire que pcq on fait ce qu'on aime, et qu'on fait des études on va d'office avoir un job en sortant.
Y a trop de monde qui font des études sans réfléchir à plus tard et qui se retrouvent ensuite au chômage.
Et quid si on inverse le problème; genre le gars ne va s'intéresser qu'à ce qui est porteur et non à ce qu'il aime ? Déjà la probabilité de rater ses études sera relativement importante (ainsi que le risque de se retrouver sans diplôme du tout ce qui est bien plus grave que de ne pas être diplômé universitaire) ensuite, s'il réussit il trouvera certes sans difficultés mais il devra se farcir quasi 50 ans de carrière (toute sa vie) dans quelquechose qui ne lui plaira pas voir pire le dégoutera par après ....
Je ne pense franchement pas que ce soit un meilleur choix de carrière.
Très honnêtement je pense que le plus sage reste de d'abord privilégier ce qu'on aime en ayant certes une très légère attention pour les débouchés qui y sont liés (genre celui par exemple qui hésiterait grandement entre le droit ou l'histoire aura tout intérêt à opter pour le droit; c'est plus sûr et sage il est vrai).
Maintenant pour celui qui ne se verrait que faire historien et absolument rien d'autre ferait mieux de valider son projet en se lançant dans ses études d'histoire tout en se surpassant (genre en visant les grandes dis) ... au final il aura ainsi une maîtrise universitaire avec grade qui reste quoiqu'on en dise un sérieux atout sur le marché du travail (et que ceux qui me contredisent me disent donc ce qu'ils pensent du mec pour qui le CV ne se limite au niveau du diplôme qu'au CESS ?).
Mec... Je réagis pas trop sur ce forum malgré que j'y passe encore assez souvent mais wow, t'as quoi avec l'université?
C'est incroyable!
En passant, de ce que j'ai vu sur un autre thread, arrête de critiquer les autres à propos de leur orthographe (sous prétexte qu'ils n'ont pas fait l'Université (avec une majuscule juste pour toi), tu ne fais qu'avoir l'air encore plus ridicule vu la tienne.
Pour en revenir au post, je ne vais être qu'un de plus à dire que tu vas finir au chômage en te lançant dans ces études
Un excellent conseil, choisis également en fonction des débouchés.
Quelques exemples de mon entourage:
Master en psychologie: vendeuse chez ERAM et une autre au chômage.
Master en archéologie: chômage depuis qu'elle est sortie il y a au moins un an et demi.
Master en communication: tentative dans l'enseignement (après avoir bien cherché), au final elle a craqué et se retrouve au chômage.
Master en sciences humaines: manager de rayon Carrefour planet.
Si tu veux faire pareil, fonce!
Le coup du mec qui sort ses quelques exemples personnels comme si c'étaient des preuves tangibles et irréfutables on repassera hein ...
Déjà tes exemples ne sont très certainement pas représentatifs de la réalité des diplômés genre tous les psy finissent vendeurs chez eram ou chômeurs bien sûr ...
A côté de ça la femme d'un pote qui a justement fait psychologue a su trouver une place en tant que psychologue clinicienne en hôpital ... mais d'après toi ça n'est sûrement qu'un cas particulier ça, non ?
En dehors du diplôme il y aussi d'autres facteurs qui jouent hein; les diplômés dont tu parles déjà ils ont quels styles de personnalités; est-ce qu'ils cadrent réellement avec ce qu'on peut attendre d'un psychologue de ce point de vue (ou la personnalité est justement importante dans ces professions) ? Faut aussi voir le grade obtenu car s'ils ont ramé grave pour n'avoir qu'une "bête" satisfaction ça jouera aussi vu qu'ils passeront après les meilleurs.
Pour le reste je constate qu'on critique, qu'on bashe certes mais en attendant on ne donne aucun conseil concret à Aphrodite sur ce qu'il ferait mieux d'entreprendre comme parcours ... c'est bien beau de sortir le mot "débouchés" oui mais encore ?