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LIÈGE On le soupçonnait depuis longtemps mais on en a désormais confirmation: Michel Fourniret, le Français de 62 ans arrêté il y a un an et quelques jours après avoir enlevé une jeune fille dans les Ardennes est, pour reprendre l'expression du parquet général de Liège «un véritable serial killer.» Ce mercredi, il en était en effet en aveu sur six enlèvements suivis de meurtres.
Parmi ces enlèvements, celui d'Elisabeth Brichet, le 20 décembre 1989. Agée de 12 ans, la gamine sortait d'une visite chez une de ses copines lorsque son chemin a malheureusement croisé celui du Français. Il l'a embarquée dans sa voiture et ramenée dans sa propriété des Ardennes françaises. «Elle y a subi des sévices sexuels avant d'être étranglée, 36 heures après son enlèvement», a expliqué M. Visart de Bocarmé, le procureur du Roi de Namur.
Ses aveux, Fourniret ne les a consentis que ce mercredi, soit plusieurs heures après d'autres aveux, ceux de Monique Olivier, son épouse. Celle-ci, qui n'avait guère été inquiétée dans cette affaire jusqu'à cette semaine, a fini par craquer suite, semble-t-il, au sort qui a été réservé, par les assises d'Arlon, à l'épouse de... Marc Dutroux, Michelle Martin.
Monique Olivier n'a pas seulement parlé des six crimes sur lesquels son époux est désormais en aveux mais de... neuf enlèvements suivis d'autant de crimes. Elle a été inculpée de non-assistance à personne en danger et placée sous mandat d'arrêt. Mais d'autres inculpations pourraient suivre. «En effet, elle a tu pendant longtemps ce qu'elle savait et a eu certainement une part dans certains enlèvements», estime le procureur général de Liège Mme Thily.
Celle-ci précise également que les cinq autres crimes sur lesquels Fourniret est en aveux se sont passés dans une période antérieure à celui d'Elisabeth Brichet et qu'ils ont été commis en France.
C'est dans ce pays, avec lequel d' «excellentes relations de travail» se sont établies au niveau policier et judiciaire que se poursuivront ces enquêtes-là.
et on apprend ca quelque jours apres le verdict du proces dutroux.
Parmi ces enlèvements, celui d'Elisabeth Brichet, le 20 décembre 1989. Agée de 12 ans, la gamine sortait d'une visite chez une de ses copines lorsque son chemin a malheureusement croisé celui du Français. Il l'a embarquée dans sa voiture et ramenée dans sa propriété des Ardennes françaises. «Elle y a subi des sévices sexuels avant d'être étranglée, 36 heures après son enlèvement», a expliqué M. Visart de Bocarmé, le procureur du Roi de Namur.
Ses aveux, Fourniret ne les a consentis que ce mercredi, soit plusieurs heures après d'autres aveux, ceux de Monique Olivier, son épouse. Celle-ci, qui n'avait guère été inquiétée dans cette affaire jusqu'à cette semaine, a fini par craquer suite, semble-t-il, au sort qui a été réservé, par les assises d'Arlon, à l'épouse de... Marc Dutroux, Michelle Martin.
Monique Olivier n'a pas seulement parlé des six crimes sur lesquels son époux est désormais en aveux mais de... neuf enlèvements suivis d'autant de crimes. Elle a été inculpée de non-assistance à personne en danger et placée sous mandat d'arrêt. Mais d'autres inculpations pourraient suivre. «En effet, elle a tu pendant longtemps ce qu'elle savait et a eu certainement une part dans certains enlèvements», estime le procureur général de Liège Mme Thily.
Celle-ci précise également que les cinq autres crimes sur lesquels Fourniret est en aveux se sont passés dans une période antérieure à celui d'Elisabeth Brichet et qu'ils ont été commis en France.
C'est dans ce pays, avec lequel d' «excellentes relations de travail» se sont établies au niveau policier et judiciaire que se poursuivront ces enquêtes-là.
et on apprend ca quelque jours apres le verdict du proces dutroux.