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Le virus Mydoom aurait-il fait couler plus d'encre et de sueur froide que de raison ? Présenté comme l'attaque virale la plus forte de l'histoire du Web, ce virus, aux caractéristiques connues, a été endigué assez rapidement, et celle de son "fils" Mydoom B a également été contrée par les éditeurs d'antivirus, tout comme par Microsoft dont les sites étaient la cible le 1er février dernier.
Les éditeurs d'antivirus ont ainsi estimé que 600 000 à 1 million d'ordinateurs ont été touchés le week-end dernier sur les 700 millions qui sont connectés à la Toile !
SCO, cible principale de Mydoom, a simplement déplacé son site sur une autre adresse pour contrer l'attaque, une technique déja utilisée par Microsoft en août dernier pour faire face au ver Blaster.
Il vaut mieux néanmoins s'assurer que le virus n'est pas présent dans sa machine car MyDoom ouvre une porte dérobée dans les PC qu'il infecte, permettant à un pirate d'en prendre le contrôle dans le futur et peut être ainsi installer des programmes malveillants à "but lucratif", comme les vers Mimail, Webber ou Bugbear.B qui ont pour vocation de réaliser une véritable escroquerie à la carte bancaire en volant des informations financières et des mots de passe !
Des "outils" dont la capacité de nuisance, dans la vie réelle, est bien plus efficace que le «virulent» Mydoom.
Si la méfiance reste d'actualité, il ne faut pas négliger le fait que «Le ton des informations des sociétés d'antivirus est généralement très catastrophiste» selon Bernard Oughanlian, directeur sécurité de Microsoft France. Si cela peut les aider à vendre plus de logiciels...
Les éditeurs d'antivirus ont ainsi estimé que 600 000 à 1 million d'ordinateurs ont été touchés le week-end dernier sur les 700 millions qui sont connectés à la Toile !
SCO, cible principale de Mydoom, a simplement déplacé son site sur une autre adresse pour contrer l'attaque, une technique déja utilisée par Microsoft en août dernier pour faire face au ver Blaster.
Il vaut mieux néanmoins s'assurer que le virus n'est pas présent dans sa machine car MyDoom ouvre une porte dérobée dans les PC qu'il infecte, permettant à un pirate d'en prendre le contrôle dans le futur et peut être ainsi installer des programmes malveillants à "but lucratif", comme les vers Mimail, Webber ou Bugbear.B qui ont pour vocation de réaliser une véritable escroquerie à la carte bancaire en volant des informations financières et des mots de passe !
Des "outils" dont la capacité de nuisance, dans la vie réelle, est bien plus efficace que le «virulent» Mydoom.
Si la méfiance reste d'actualité, il ne faut pas négliger le fait que «Le ton des informations des sociétés d'antivirus est généralement très catastrophiste» selon Bernard Oughanlian, directeur sécurité de Microsoft France. Si cela peut les aider à vendre plus de logiciels...