Base Jump

Wikipedia a dit:

Acronyme pour Building, Antenna, Span (bridge) and Earth Jump: saut à partir d'un immeuble, d'une antenne, d'un pont ou du sol (falaise).

Le base jump est un sport à risque toléré par beaucoup de pays comme la France. Les base jumpers sont en fait des parachutistes très entraînés. Pour devenir base jumper, il faut donc adhérer à une fédération de parachutisme puis acquérir un très bon niveau en chute libre et en conduite voile ouverte. Il y a en France environ 150 base jumpers réguliers (+ de 80 sauts par an), entre 1 000 et 1 500 dans le monde.

Des compétences importantes sont nécessaires en plus de la pratique du parachutisme : alpinisme, parapente et autres activités de voltige (saut à ski, plongeon de haut vol) permettent d'acquérir une connaissance indispensable de l'environnement et l'aptitude à chuter stable sans appuis aérodynamiques (absents au départ du fait d'une vitesse horizontale nulle).

Le base jump se pratique avec un seul parachute, plié comme un parachute de secours, là où le parachutisme en utilise deux.

La pratique exclusive du base jump depuis des falaises se nomme : « paralpinisme » - alpinisme/parachutisme -

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un site de sport extrême a dit:

Le base jump n'est pas une discipline facile. Meme les jumpers les plus experimentes s'exposent toujours a un risque fatal.

Le Base jump est dix fois plus dangereux que le saut d'avion.

C'est pourquoi il faut vraiment s'y consacrer et ne pas le considérer à la légère. II faut bien comprendre son fonctionnement et respecter les différentes étapes de sa progression.

Il est donc préférable de demander conseil à un "instructeur" (il n'existe aucune "qualif " en la matière...) qui possède au minimum 50 sauts de Base jump à son actif sera en mesure de choisir des spots d'initiation adaptés pour les premiers sauts ainsi qu'un équipement moderne de Base jump. En plus du parachute il est conseillé de s'équiper d'un casque léger de bonnes chaussures de coudières et de genouillères surtout pour les premiers sauts et les endroits délicats.

En outre voici 5 règles à respecter impérativement:

1. Connaître les dangers attenant aux conditions météo au soleil et au vent (en chute et au sol pour l'atterrissage).
2. Connaître le point de sortie.
3. Connaître le délai de chute (voir table ci-dessous).
secondes mètres vitesse (m/s)
4. Connaître le point d'atterrissage en fonction de la finesse de la voile.
5. S'assurer que l'on est capable de partir en position stable à vitesse zéro.

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Koreus a dit:

Cette vidéo regroupe une compilations d'un an de sauts extèmes dans différentes parties du globe.
On commence par la Malasie, en passant par le Venezuela, le Japon et même la France avec les falaises du Verdon.
Le principe de ces sauts est simple, sauter de l'endroit le plus haut en prenant le plus de risque et en ouvrant la parachute le plus tard possible.
Pour finir, il saute d'un immeuble en pleine nuit, avec une visibilité presque nulle et atterrit sur la route en plein milieu de la circulation.
Il y a encore d'autres choses étonnantes, le mieux est de le découvrir en regardant la vidéo.

Lien vers la video (emule)

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dvd a dit:

Les « Soul Flyers » est un team de 4 chuteurs et base jumpers : Loïc Jean Albert, Valéry Montant, Claud Remide et Stéphane Zunino.
Avec le soutien de Salomon, Julbo & Ride The Planets, ils réalisent des trips dans des paysages de grande nature ainsi que des démonstrations lors des compétitions du circuit international (Whistler et Verbier).

Ils combinent leurs spécialités et compétences respectives (chute libre, flares, wingsuit, parapente, base jump) pour réaliser des sauts et des images hors du commun. Loïc a notamment mis au point une combinaison à ailes (wingsuit S-Fly) avec laquelle il réalise des vols impressionnants au dessus du public et à proximité des reliefs montagneux. On a tous dans la tête cette image d'un objet volant non identifié planant à quelques mètres seulement au dessus de la neige et des ses potes skieurs : ce n'est pas un trucage ni une illusion d'optique, mais bel et bien la concrétisation d'un pari fou, rendu possible par le développement de cette combinaison en forme d'aile qui permet au chuteur de planer au lieu de simplement chuter...

Le DVD contient plus de 60 minutes d'images réalisées en Namibie, au Canada, en Suisse, sur l‚île de La Réunion et en France. Au programme : base-jump, sauts de parapente, flares en synchro avec des skieurs sur les pistes enneigées, vols en wingsuit (la fameuse combinaison à ailes), chute libre, flares dans les dunes de sable et sur les plages de sable noir.

Inclus : « Adrenaline Hunter in Namibia » Prix de la Critique, Festival International du FIlm de Yelmo 2003 & Verbier "Flare The Alps" Prix du film spectaculaire et visuel - Coupe Icare 2003.

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Anax a dit:

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Vidéo à voir en premier pour comprendre la suite.

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