Dossier sur ECHELON

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Hamilton

The Doc'
Ce qu'est ECHELON

Echelon est un mot de code utilisé pendant de nombreuses années par les services de renseignements américains pour désigner une base d'interception des satellites commerciaux. Par extension le Réseau Echelon désigne un système d'interception mondial des communications, élaboré par les États-Unis, le Royaume-Uni, le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande. Il est géré conjointement par leurs services de renseignements :


C'est un réseau global, qui est appuyé par des satellites artificiels, de vastes bases d'écoutes situés aux États-Unis, au Canada (à Leitrim), en Grande-Bretagne (à Morwenstow), en Australie (à Pine Gap) et en Nouvelle-Zélande (à Waihopai), des petites stations d'interception dans les ambassades, et le sous-marin l'USS Jimmy Carter, qui devrait reprendre du service en 2004 pour écouter les câbles sous-marins de télécommunications.

Il intercepte les télécopies, les communications téléphoniques, les courriels, et grâce à un puissant réseau d'ordinateurs, est capable de trier en fonction de certains termes, les communications écrites et, à partir de l'intonation de la voix, les communications orales.

Bien que plusieurs autres pays aient mis des systèmes similaires, comme le système surnommé Frenchelon en France, il reste aujourd'hui le plus puissant des systèmes d'écoute.

Ces réseaux peuvent être utilisés pour des actions militaires, politiques ou commerciales. Il aurait été utilisé pour faire gagner des contrats à des compagnies américaines, face à ses concurrents, comme Boeing contre Airbus.

Sur la base du Yorkshire en Grande-Bretagne, la plus grosse hors des États-Unis, 2 000 personnes travaillent, dont 1 500 américains. Les militantes du Women peace camp, sont entrées plusieurs fois dans cette base, et y ont volé des documents, et ont diffusé ces informations sur Echelon.



Histoire.

En 1943, pendant la seconde guerre mondiale, les États-Unis et le Royaume-Uni signent un accord de coopération dans l’interception des communications, l'accord Brusa. La machine Enigma fleurons de la cryptographie nazie ne résiste pas à cette alliance. Pour pérenniser cette entente ces deux pays signent en 1947 le traité UKUSA (United-Kingdom – United States of America). Ils sont rapidement rejoint par Le Canada, l’Australie et la Nouvelle-Zélande.

Pendant les premières années, ces pays se sont cantonnés à l’interception des messages entrants et sortants de leurs territoires respectifs et à l’écoute de certains pays limitrophes. Mais bien vite la Guerre Froide les oblige à développer des outils plus performants, et à plus grand rayon d’action. Au milieu des années 70, la première base ECHELON voit le jour aux États-Unis. Elle sera la première d’un vaste réseau qui couvre aujourd’hui la terre entière. Son nom est P415, mais il est plus connu sous le nom de réseau ECHELON.

Plusieurs pays tiers rejoindront cette alliance telle que l’Allemagne, la Norvège, la Corée du Sud,… Ils n’auront qu’une importance secondaire, les cinq principaux pays, de cette coalition, se partageant les informations recueillies, et décidant quelles personnes, ou entreprises, ou États doivent être la cible du réseau.

Ce réseau est resté totalement inconnu du grand public pendant près de 20 ans. Ce n’est qu’en 1988 qu’un journaliste écossais, Duncan Campbell dévoile l’affaire. À l’époque celle-ci ne fait pas grand bruit et très peu de média s’y intéresse. En 1996, le journaliste Néo-zélandais Nicky Hager confirme son existence dans son livre Secret Power et évoque pour la première fois le mot Echelon. Parallèlement les affaires d’espionnage économique se multiplient, Thomson CSF, Airbus, ATT, …

Malgré tout la preuve de l’existence de ce réseau n’a toujours pas été apportée. En 1999 la porte s’entrouvre avec les déclarations successives des Canadiens et des Australiens qui confirment leur appartenance à une alliance dans le domaine du renseignement. Cette même année les premières preuves écrites sont découvertes par des chercheurs de l’université George Washington (Washington). Deux documents déclassifiés par la NSA ont été découverts, l’un datant du 3 septembre 1991 qui précise la mission du centre de surveillance électronique de Sugar Grove en Virginie, l’autre du 15 juin 1995 relatant l’activation de certain centre d’interception sur les bases aériennes américaines. On notera que la NSA a toujours nié cette alliance et qu’officiellement le réseau P415 n’existe pas.



Les affaires connues d'espionnages

Espionnage contre des personnes

1945-1973 Opération SHAMROCK
A partir de 1945, la NSA a obtenu systématiquement des bureaux des principales entreprises américaines de télégraphie (RCA Global, ITT World Communications, Western Union) l’accès aux messages câblés. C’est le début de l’opération SHAMROCK qui dura prés de 30 ans. De 1966 à 1973, la circulation totale de télégrammes aux États-Unis était d’environ soixante douze millions de messages par an. Selon la commission Church du Sénat américain, les analystes de la NSA en sélectionnaient environ 1,8 million, soit un sur quarante, pour les exploiter avec l’aide des autres agences américaines.

1967-1975 Opération MINARET
A partir de 1967, l’opération MINARET débute. Les pacifistes (contre la guerre du Vietnam), les militants pour l’égalité des droits civiques (Martin Luther King, Malcom X, James Fonda, …) sont mis systématiquement sur écoute. Pour légitimer leurs actions les différentes agences américaines ont volontairement porté des accusations à leur encontre. Ainsi 450 américains et 3000 étrangers étaient considérés comme des trafiquants de drogue internationaux, 1000 américains et 1700 étrangers étaient classés comme agitateurs publics ou terroristes, 30 organisations américaines et 700 étrangers étaient désignés comme extrémistes.

Le 8 août 1975, le lieutenant-général Lew Allen directeur de la NSA, reconnaît devant la commission Pike de la chambre des Représentants que : « La NSA intercepte systématiquement les communications internationales, les appels téléphoniques comme les messages câblés. ». Il reconnaissait également que des messages adressés à des citoyens américains ou émanant d’eux ont été interceptés dans le processus destiné à rassembler des renseignements concernant l’étranger, ce qui est contraire à la constitution américaine.

En août 1977, Abdeen M. Jabara, avocat de Detroit, intenta un procès au FBI. Il devint le premier et le seul américain à provoquer la révélation de l’étendue de la surveillance exercée sur lui par la NSA. Entre 1967 et 1973, la NSA avait procuré au FBI le contenu de six appels téléphoniques et télégrammes passés à l’étranger par cet homme. Celui-ci appris également que la NSA avait transmis des renseignements le concernant à treize agences fédérales américaines et à trois gouvernements étrangers. Il obtint temporairement qu’il soit interdit à la NSA d’écouter ses communications, et la destruction du matériel et des dossiers le concernant. Quelques années plus tard le dossier fût classé sans suite.

Espionnage économique

1994 Airbus - Mcdonnell-Douglas, vente d’avions à la Saoudians Airlines
1994 Enercon, Vol d’éléments techniques pour la constructions d'éoliennes
1994 Thomson CSF - Raytheon, Interception des offres de l'entreprise française pour la construction d’un système de surveillance de la forêt amazonienne
1994 Accord du GATT, Interception des e-mail des représentants européens
2002 Parlement Européen, Connaissance du mode de cryptage des données du parlement depuis plusieurs années.

Les Opposants

Jam Echelon Day

En 1999, un groupe de « hacktivists » lance une campagne de mobilisation contre le système ECHELON en tirant parti de son prétendu point faible : son dictionnaire de mots-clés . Le 21 octobre 1999 est déclaré comme étant le « Jam Echelon Day », la journée d’engorgement du réseau ECHELON. Les internautes sont invités à ajouter à tous leurs messages électroniques une liste de mots-clés propres à faire réagir le système de tri. Selon les militants, le système d’écoutes pourrait alors être submergé par la masse de messages à traiter. Mais bien vite cette affirmation est mise en doute. William Knowlse qui fût le premier à préparer une liste de mots-clés dés 1998 déclare « J’ai amassé ces mots-clés au fil de mes lectures, sans vraiment penser à déstabiliser les services secrets […] Je doute qu’une liste vieille de plus de deux ans puisse créer des ennuis à la NSA. ». Duncan Campbell, un spécialiste du réseau ECHELON, ajoutera même « Il suffit aux employés de la NSA de demander à leurs ordinateurs d’ignorer les messages contenant plus d’une dizaine de mots clés. Le réseau ECHELON serait alors protégé et ne subirait aucun engorgement. ».

En 2001, l’action est relancée avec un but plus informatif. Son principal objectif est de faire comprendre aux citoyens que la liberté de pensée et d’expression est menacée. Le second objectif et de fournir des avis, des logiciels pour sécuriser les communications des entreprises et des particuliers. Malheureusement le message passe mal, et a des difficultés à sortir d’un cocon d’internautes spécialisés.

Women Peace Camp

Menwith Hill, dans le Yorkshire, en Grande-Bretagne, est la plus grande base du réseau ECHELON hors des États-Unis. Prés de 2000 personnes y travaillent dont prés de 1500 Américains. Un groupe de femme, la Women Peace Camp, âgée en moyenne de plus de 60 ans résiste à cet envahisseur. Dés 1994, elles installent des caravanes en face de la base, évacuées sans ménagement elles alertent l’opinion publique. Pendant plus de 2 ans, elles se sont introduit plusieurs fois dans la base et ont fait ses poubelles sans éveiller les soupçons. Grâce à des photocopies ratées des fax elles réussissent à mettre à jour prés de 250 systèmes opérant à Menwith Hill, et plusieurs bases implantées sur le sol anglais inconnues jusqu’à présent.

Suite à leurs multiples actions elles multiplient les procès et les périodes d’incarcération. Ainsi Ann Lee a été condamnée l’année dernière à 2 mois de prison ferme pour avoir découpé une grille de sécurité, Helen John âgée de plus de 60 ans à été condamné 34 fois et à fait 18 mois de prison. Mais leur lutte semble inefficace, malgré le ras le bol grandissant du personnel de la base, Menwith Hill ne cesse de se développer.

Fred Stock

Fred Stock travaillait au CSE, l’agence de renseignement canadienne. Il trouvait son travail intéressant, mais à la fin de la guerre froide il s’aperçoit que son service met sur écoute ses concitoyens et ses alliées. Il a commencé à remettre en cause les actes de son agence et à poser des questions. Ses supérieurs n’ont pas apprécié et ils commençaient par faire des rapports mais voyant que cela ne fonctionnait pas ils ont essayé de l’isoler de le discréditer. Ils lancèrent des rumeurs sur des crimes qu’il était censé avoir commis, ils ont même essayé de le faire passer pour un tueur en série.

En 1993, il se plaint à la direction du CSE. Il est remercié. Il décide alors de faire appel aux parlementaires canadiens. Il en rencontre un qui lui dit que cela prendrait du temps mais que son dossier serait étudié. Deux ans plus tard, voyant que son action n’a pas abouti, il décide d’écrire à tous les parlementaires canadiens sans exception. Il ne reçut en réponse que des formules de politesse.

Depuis 1993, on lui disait que les plaintes allaient être étudiées et que l’on y donnerait suite. En 1998, il reçoit un courrier comme quoi les enquêtes allaient commencer. Mais début 2000 toutes ses plaintes sont rejetées. Les parlementaires refusent de mettre en cause le CSE pour ses écoutes illégales. Seul la plainte concernant son licenciement est retenue. Le dossier est soit disant en train d’aboutir. Commentaire de Fred Stock : « Ils m’ont grillé, je ne peux plus travailler – dans les services secrets ? – n’importe où, ils veulent me faire payer. »

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Source: http://encyclopedie.snyke.com

Lui même tiré de :

Documents audiovisuels
Le documentaire 'Echelon Le pouvoir secret' de David Korn-Broza (coproduction France2 - Kuiv production) où différents anciens membres du réseau témoignent.

Livres
:arrow: Nicky Hager 'Secret power'. Craig Potton Publishing, 1996.

:arrow: S. Lizin , Ch. Van Parys. 'Rapport sur l’existence éventuelle d’un réseau d’interception des communications, nommé « Echelon »'. Sénat et Chambre des représentants de Belgique, 25 février 2002. 70 pages.

:arrow: Arthur Paecht. 'Rapport d’information sur les systèmes de surveillance et d’interception électronique pouvant mettre en cause la sécurité nationale'. Assemblée nationale (France), 11 octobre 2000. 89 pages.

:arrow: Gerhard Shmid 'Rapport sur l’existence d’un système d’interception mondial des communications privées et économiques, système d’interception ECHELON'. Parlement Européen, 11 juillet 2001. 202 pages.

:arrow: 'Development of surveillance technology and risk of abuse of economic information.Scientific and Technological Options Assement (STOA)', 1999

:arrow: Peggy Becker. 'Présentation et analyse'. Volume 1.

:arrow: DuncanCampbell. 'The state of the art in communications intelligence (COMMINT) of automated processing for intelligence purposes of intercepted broadband ultilanguage leased or common carrier systems, and its applicability to COMMINT targetting and selection, including speech recognition'. Volume 2.

:arrow: Franck Leprevost. 'Encryption and cryptosystems in electronic surveillance : a survey of the technology assessment issues'. Volume 3.

:arrow: Chris Elliot. 'The Legality of interception of electronic communications: a concise survey of the principal legal issues and instruments under international, european and national law'. Volume 4.
 

- Lo0

Elite
Oufti.

Connaissait le reseau echellon depuis quelque temps ( 2000 - 2002 que j'ai " decouvert " ). Il y en a qui s'amuse a t'envoyer un couriel où a la fin il est mis une phrase du type président - assasinat - attentat - ... en blanc sur fond blanc, comme sa ton addresse est sur la liste d'écoute ( se qui ne change rien apart " saturer " leur réseau )
 
G

glandu444

ex membre
Ca fait peur.

Mais bon c'est pas neuf.
 
ils sont fou tous ses gens aves leur espionnage ...

Peace and love manneke et regarde dans TON assiette.
 

kayt0r

G*3*3*K
dedjeu ! je sais pas si des gens regarde Alias parmis vous mais ils parlent d'echelon dans la série ! :shock:

pensait pas que sa existait réellement moi, sa fait un peu flipper quand même.

big brother is watching you....
 

cRiStAl

Touriste
cpas pour rien qu'ils te mettent ça dans alias,

apres tu parle d'echelon irl et on te reponds "tes fou ou quoi faut arrêter de trop regarder la tv =)"
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
Fallait s'y attendre aussi :)

Mais pour le NSA,c'est normal qui nie l'existence d'une telle organisation sinon celle-ci n'a plus de bute.
 

C@n

Elite
Si effectivement il espionne pour vendre leur info à des sociétés pour gagner sur le marché économique... c'est illégal... (inégale)
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
C @ n a dit:
Si effectivement il espionne pour vendre leur info à des sociétés pour gagner sur le marché économique... c'est illégal... (inégale)
Tu as déjà vu les Etats-Unis faire beaucoup de chose légal?
 

C@n

Elite
Non mais je peux comprendre qu'il est important de surveiller, mais pas dans ce but, c'est probablement de l'excès de zele d'un employé qui a vendu des informations... quelqu'un qui fait mal son boulot (intetionnellement ou non peu importe)

Pour te répondre bisounours.. il faut déja voir quels sont les lois, car on n'entre en illégalité que si l'on est en contradiction avec une loi ou quelques choses "d'illégal"

Ici tu serais attaquer en justice pour des clopinettes vendue à des ados, alors que dans un autre pays il n'en serait rien.
 

CeKaC

Elite
Il suffit de regarder le film ennemi d'etat ou de lire les bouquins de Tom Clancy pour se rendre compte de ce que les USA sont prets à faire pour espionner .


Je ne dis pas que ces medias sont strictement reels mais une bonne part l'est qd meme.
D'ailleurs Clancy ds un de ses bouquins explique lui aussi le fonctionnement de Echelon
 

John__

Touriste
ben voila. c'est malin. ils vont débarquer sur gamerz !

Code:
Explosives, guns, assassination, conspiracy, primers, detonators,
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hmtd, picric acid, silver nitrite, mercury, fulminate, presidential
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charges, shrapnel, timers, timing devices, boobytraps, detcord, pmk 40,
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HK-G3, FN-MAG, RPD, PzB39, Paul Préboist, 
Air Force One, M60, RPK74, SG530,
SG540, Galil arm, Walther WA2000, HK33KE, 
Parker-Hale MOD. 82, AKR, Ingram
MAC10, M3, L34A1, Walther MPL, AKS-74, HK-GR6, 
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DATTA, E911, FCIC,
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UTU, VNET, BRLO,
SADCC, NSLEP, SACLANTCEN, FALN, 877, 
NAVELEXSYSSECENGCEN, BZ, CANSLO, CBNRC,
CIDA, JAVA, rsta, Active X, Compsec 97, RENS, LLC, DERA, JIC, rip, 
rb, Wu,
RDI, Mavricks, BIOL, Meta-hackers, SADT, Steve Case, Tools, 
RECCEX,
Telex, OTAN, monarchist, NMIC, NIOG, IDB, MID/KL, NADIS, 
NMI, SEIDM, BNC,
CNCIS, STEEPLEBUSH, RG, BSS, DDIS, mixmaster, BCCI, 
BRGE, SARL, 
Military Intelligence, JICA, Scully, recondo, Flame, Infowar, Bubba, 
Freeh, Archives
 

F@t Boy

Born to grill
big brother is your friends
 

Spellgate

Elite
- Lo0 a dit:
Oufti.

Connaissait le reseau echellon depuis quelque temps ( 2000 - 2002 que j'ai " decouvert " ). Il y en a qui s'amuse a t'envoyer un couriel où a la fin il est mis une phrase du type président - assasinat - attentat - ... en blanc sur fond blanc, comme sa ton addresse est sur la liste d'écoute ( se qui ne change rien a part " saturer " leur réseau )
J'ai vu un super reportage d'ARTE qui parlait d'Echelon et c'est vraiment vicieux, ils peuvent en effet filtrer tous les mails, fax et communications téléphoniques de façon à justement éviter une saturation inutile.
Comme il y a 2-3 ans quand des ptits comiques avaient demandé à un paquet de gens d'envoyer des mails avec plusieurs mot-clés "sensibles", hop en quelques secondes le filtrage avait évité tous les messages ayant + de 8 mots-clés et cela n'avait servi à rien car la majorité des gens avaient exagéré et parsemé leurs mails de dizaines de mots-clés :p

Pour Info le reportage s'appelle : "Echelon, le pouvoir secret"
 

Dieu Bisounours

Créateur de Dieu
C @ n a dit:
Non mais je peux comprendre qu'il est important de surveiller, mais pas dans ce but, c'est probablement de l'excès de zele d'un employé qui a vendu des informations... quelqu'un qui fait mal son boulot (intetionnellement ou non peu importe)

Pour te répondre bisounours.. il faut déja voir quels sont les lois, car on n'entre en illégalité que si l'on est en contradiction avec une loi ou quelques choses "d'illégal"

Ici tu serais attaquer en justice pour des clopinettes vendue à des ados, alors que dans un autre pays il n'en serait rien.
Ici,tu tombes sur les lois de plusieurs pays et je ne crois pas que tous ces pays autorisent ce genre d'espionnage.(Même l'amérique mais eux,c'est autre chose).De tout façon,la CIA faisait ça à petite échelle et NSA fait ça à grande Echelon.Voilà
 

k o D

Elite
ben voila. c'est malin. ils vont débarquer sur gamerz !
Il faudrait balancer comme ces conneries de chaînes ces mots par mail juste pour faire chauffer leur système informatique :cool:
 

C@n

Elite
Y doivent déja l'être vu que COSMOS est déja pas mal utiliser pour le jeu WoW :roll:
 

Freshmeat

Awesome
Dans Splinter Cell tu travailles pour Echellon ^^
 
1er
OP
Hamilton

Hamilton

The Doc'
La clââsse :p
 
Statut
N'est pas ouverte pour d'autres réponses.
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