Dour Festival 2007 !

Anax] a dit:

ahahahahah

elles sont parties hier en 35 minutes
entre 6h00 et 6h35

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Gatchan77 a dit:

Moi je m'etais dit que cette année je faisais un Dour sans coup de soleil. Evidemment je m'en suis chopé un enorme ce week-end

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19th DOUR FESTIVAL : 12th - 15th July 07

Version en français
DOUR FESTIVAL : IL RESTE UNIQUEMENT DES TICKETS POUR LE JEUDI, VENDREDI ET DIMANCHE. IL NE RESTE PAS DE TICKETS POUR LE SAMEDI NI DE PASS POUR LES 4 JOURS.
AUCUNE VENTE DE TICKETS NE SE FERA À L'ENTRÉE DU FESTIVAL PENDANT CELUI-CI!

Dans trois jours, vous serez CHAQUE JOUR près de 36 000 personnes à vous rendre au Dour Festival. Pour sa 19ème édition, le Dour Festival s'annonce une fois encore en pleine forme ! En croissance continue depuis la première édition en septembre 1989, notre festival se déroulera cette année à guichets fermés et cela du 12 au 15 juillet. Il confirme ainsi non seulement son statut de premier événement musical en Communauté française mais aussi celui de premier événement touristique en Wallonie. En effet, le festival accueillera sur les 4 jours près de 144 000 festivaliers dont environ 60% proviennent de France, de Flandre, d'Angleterre ou des Pays-Bas.

Il ne reste désormais plus aucun ticket disponible pour le samedi. Il reste très peu de tickets pour le jeudi, vendredi et dimanche. IMPORTANT : aucun PASS pour les 4 jours ne sera vendu le jour même au festival.
Nous ne vendrons pas non plus de tickets "un jour". Le festival se déroulera à guichets fermés. Il est inutile de vous déplacer si vous n'avez pas acheté le ticket en prévente.
Tous ceux qui ont acheté un ticket 4 jours pourront se procurer un accès au camping à l'entrée du festival. Le camping coûte 15 euros.
Pour les détenteurs de tickets un jour : les bracelets camping sont en vente tant qu'il reste de la place disponible dans celui-ci.

Plus d'infos sur la billetterie et l'état des ventes : http://www.dourfestival.be/fr/2007/billetterie
No Bullshit au Dour Festival, c'est du direct!
La rédaction musicale de Télé Moustique offre gratuitement le quotidien "No Bullshit"! à tous les festivaliers. Réalisé sur place, ce quotidien sera distribué chaque jour par nos charmantes hôtesses. Au menu: l'horaire complet de la journée, les changements de dernière minute, les interviews, les potins des coulisses, le plan détaillé du site, les reportages dans le camping et l'actualité de tous ceux qui font le festival: artistes, bénévoles, commerçants, production... Quatre édtions à ne rater sous aucun prétexte. Une expérience journalistique digne de "24H Chrono" avec la précision des Experts et l'impertinence de "Grey's Anatomy".

Pour plus d'infos sur le festival, les groupes, le camping, les tickets, rendez-vous sur www.dourfestival.be

À très bientôt,

L'équipe du Dour Festival .
www.dourfestival.be

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Moi je voudrais m'inscrire à la zone kepon, celle où on dort dans sa crasse, où on balance une canette pour réveiller son voisin avant que sa tête roupillante ne s'enlise complètement dans la boue, celle où on siffle les gonzesses qui passent en maillot de bain avec un petit ricanement satisfait dès que celle-ci tourne la tête avec une moue irritée, celle où on sort des rots, et pets, ou toute sorte de bruits qu'il est possible de faire avec une boîte de raviolis, ouverte, fermée, mangée ou pas - car elle peut aussi servir comme repose quart de fesse, hanche métallique pour aiguiser les flatulences bien placées, celle où on a dix mille magazines de cul en lambeaux sous le matelas pneumatique mais sans tirer la moindre satisfaction de la branlette du moins pas celle du genre qui mène à une lassitude langoureuse si bien qu'on n'existe que sur un mince fil prostatique tendu et qu'on se branle trois, quatre fois par jour, sachant que c'est idiot et inutile et détestant ça à cause de cette culpabilité plus que submergée mais continuant quand même parce qu'il n'y a rien d'autre à faire à part se cuiter ou attendre le concert de Sick Of It All (hey ! remix de Lester Bangs version Dour !), celle où on tente de baiser lamentablement la première pochtronne ramassée toute baveuse sur un poteau, et qu'on bandouille en essayant de regarder par dessus son épaule dans l'entre-ouverture de tente si y reste encore des bières dans le pack, celle où on se vautre dans la terre entre quelques sachets plastiques qui ont vomi leurs courses aux hasard du terrain (trois conserves de petits pois, deux bouteilles de Sigalis, une boîte de conton tige et des saladières, parfois à moitié bouffée, parfois pas) et se réveiller le lendemain avec comme première vision ses ongles noirs élancés dans un geste désespéré - et visiblement inachevé, vu l'endroit d'élection pour dormir - visant à s'accrocher à la fermeture de tente pour l'ouvrir, ou pour la déchirer - quoiqu'il en soit les bras n'ont pas eu assez de force pour faire l'un ou l'autre.

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