Kanu
Elite
L'industrie du disque américaine repart à l'assaut
Aux Etats-Unis, la RIAA (Recording Industry Association of America) remue actuellement ciel et terre pour que sonne le glas du service d'échange de fichiers musicaux Kazaa, afin de protéger ses revenus.
Alors que le service Kazaa en lui-même semble hors de portée, la RIAA a décidé de s'en prendre à ses utilisateurs. La RIAA a réussi, ces dernières semaines, à obtenir auprès des fournisseurs d'accès et des universités des centaines de noms d'utilisateurs de Kazaa, auxquels ils comptent réclamer 150.000 EUR par cas avéré de violation de droits d'auteur. Une opération qui demandera pas mal de temps étant donné qu'une plainte officielle doit être introduite pour chaque utilisateur, afin de pouvoir accéder aux données demandées auprès des fournisseurs d'accès et des universités. Il faut donc plutôt considérer cette démarche comme un message de dissuasion envoyé aux utilisateurs de Kazaa.
Voilà koi fo changer laissez tomber kazaa lol caca koi!!!
Aux Etats-Unis, la RIAA (Recording Industry Association of America) remue actuellement ciel et terre pour que sonne le glas du service d'échange de fichiers musicaux Kazaa, afin de protéger ses revenus.
Alors que le service Kazaa en lui-même semble hors de portée, la RIAA a décidé de s'en prendre à ses utilisateurs. La RIAA a réussi, ces dernières semaines, à obtenir auprès des fournisseurs d'accès et des universités des centaines de noms d'utilisateurs de Kazaa, auxquels ils comptent réclamer 150.000 EUR par cas avéré de violation de droits d'auteur. Une opération qui demandera pas mal de temps étant donné qu'une plainte officielle doit être introduite pour chaque utilisateur, afin de pouvoir accéder aux données demandées auprès des fournisseurs d'accès et des universités. Il faut donc plutôt considérer cette démarche comme un message de dissuasion envoyé aux utilisateurs de Kazaa.
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