Ahava
Revenant
Bonjour,
J'ai eu une discution assez soutenue avec une amie, sur le nouveau "mal". En fait, je me suis rendu compte que l'on était très en proie au bonheur affectif, et que beaucoup de gens dépriment à cause d'une relation amoureuse qui n'a pas fonctionné comme ils l'auraient voulu, ou pour une autre raison qui releve des relations humaines.
Est-il normal de déprimer autant alors que ces gens ont tout ce que des millers de gens (par ex. du tiers monde) revent d'avoir : un chouette boulot, une famille, un appartement à eux, une voiture etc. ?
Je connais une personne dans ce cas, qui est allée jusqu'a se suicider malheureusement, une personne que je cotoyais dans mon école assez souvent sans jamais me rendre compte de sa détresse. Pourtant elle avait tout, matériellement parlant.
Ca m'énerve parfois d'entendre un discours de déprimé, alors qu'il m'arrive moi-même d'en avoir. Quel paradoxe.
Est-ce le nouveau fléau, le mal mental aurait-il remplacé le mal physique ?
J'ai eu une discution assez soutenue avec une amie, sur le nouveau "mal". En fait, je me suis rendu compte que l'on était très en proie au bonheur affectif, et que beaucoup de gens dépriment à cause d'une relation amoureuse qui n'a pas fonctionné comme ils l'auraient voulu, ou pour une autre raison qui releve des relations humaines.
Est-il normal de déprimer autant alors que ces gens ont tout ce que des millers de gens (par ex. du tiers monde) revent d'avoir : un chouette boulot, une famille, un appartement à eux, une voiture etc. ?
Je connais une personne dans ce cas, qui est allée jusqu'a se suicider malheureusement, une personne que je cotoyais dans mon école assez souvent sans jamais me rendre compte de sa détresse. Pourtant elle avait tout, matériellement parlant.
Ca m'énerve parfois d'entendre un discours de déprimé, alors qu'il m'arrive moi-même d'en avoir. Quel paradoxe.
Est-ce le nouveau fléau, le mal mental aurait-il remplacé le mal physique ?