Carambar
Elite
Un petit texte pour ceux qui ont vécu cette drole de sensation...
Ni joyeux, ni triste.
Je me sens bien mais
Quelque part ca ne va pas.
J'ai envie de rien mais
Il me manque quelque chose.
Pas de regrets mais
Beaucoup de mauvais souvenirs.
Peut être ai-je envie de pleurer
Mais je ne sais pas pourquoi.
Je regarde un point distant
Sans fixer quoi que ce soit.
Je regarde le monde autour de moi
Mais je ne ressens rien
Quand j'entends les voix.
J'ai envie de rester affalé
Dans ma chaise
Pour toute l'éternité.
Laisser le bien être m'envahir
Et ne plus penser à l'avenir.
Je suis sans que j'aie une identité.
Sans importance est mon passé.
J'ai envie de rester allonger
A contempler l'éternité.
Mon importance s'éfface
Car je me lasse
Des plaintes que m'inflige mon corps.
La souffrance n'as de sens
Que si l'on a un but.
Je respire lentement
A contempler ce court moment.
J'arrête de penser
Et je me laisse envahir
Par une fausse sécurité.
Longtemps j'ai décrié
Les absurdités.
Mais maintenant plus rien
N'est important.
Car je savoure
Ce moment.
J'aimerais me laisser couler
Dans les fonds
De l'insousciance.
Ce qui est est
Et ce qui fut
N'as plus d'importance.
Continuant à respirer
Je sais qu'un jour
Cela va cesser.
Faut-il que la perte
De l'innocence
Equival à la souffrance.
J'ai beau chercher
L'existence est une absurdité.
Ni joyeux, ni triste.
Je me sens bien mais
Quelque part ca ne va pas.
J'ai envie de rien mais
Il me manque quelque chose.
Pas de regrets mais
Beaucoup de mauvais souvenirs.
Peut être ai-je envie de pleurer
Mais je ne sais pas pourquoi.
Je regarde un point distant
Sans fixer quoi que ce soit.
Je regarde le monde autour de moi
Mais je ne ressens rien
Quand j'entends les voix.
J'ai envie de rester affalé
Dans ma chaise
Pour toute l'éternité.
Laisser le bien être m'envahir
Et ne plus penser à l'avenir.
Je suis sans que j'aie une identité.
Sans importance est mon passé.
J'ai envie de rester allonger
A contempler l'éternité.
Mon importance s'éfface
Car je me lasse
Des plaintes que m'inflige mon corps.
La souffrance n'as de sens
Que si l'on a un but.
Je respire lentement
A contempler ce court moment.
J'arrête de penser
Et je me laisse envahir
Par une fausse sécurité.
Longtemps j'ai décrié
Les absurdités.
Mais maintenant plus rien
N'est important.
Car je savoure
Ce moment.
J'aimerais me laisser couler
Dans les fonds
De l'insousciance.
Ce qui est est
Et ce qui fut
N'as plus d'importance.
Continuant à respirer
Je sais qu'un jour
Cela va cesser.
Faut-il que la perte
De l'innocence
Equival à la souffrance.
J'ai beau chercher
L'existence est une absurdité.