_gilles
Elite
Hello,
Pour les plus intéressés d'entre vous, je me permet de copier/coller ma réaction à la question "Quel avenir pour la techno" postée sur une autre communauté spacialisée afin de lancer le débat ici même. Je parle de musique electronique globale, celle qui avance, pas celle qui recule ou qui stagne.
C'est parti...
"Même si ce que je vais écrire parait présomptueux, vous avez le droit de ne pas être d'accord, mais en tout cas, qu'on soit d'accord ou pas; le vinyl est voué à disparaitre. Et même si j'adore ce support, je vois dans cette macabre fin un avenir plus que prometteur.
Depuis quelques années, les labels prennent de moins en moins de risque. Il y a une dizaine d'année, il y avait bon nombre de labels expérimentaux qui annoncaient (ou non) les styles du lendemain. J'ai en tête Sähkö Recordings par exemple, mais il en existe des tas. ( discogs.com )
Au fil des ans, ces labels se sont fait rare à cause de la crise du disque provoquée naturellement par l'après "boom techno" et pour bien d'autres raisons encore. Les distributeurs ont pris peur et se sont moins ouvert à la créativité, préférant miser sur des styles qui leur garantiraient un feedback financier. Voilà ce qui nous à encastré dans des blocs de style.
En gros, l'industrie du vinyl s'est cassé la gueule toute seule et l'émergence des systèmes à la Final Scratch est indéniable. Image Line sort son propre systeme en standalone et en VST pour pas cher et il est compatible avec tout les vinyl timecode du marché. Demain, tout le monde mixera digital avec deux vinyls génériques pour les nostalgiques et des CD pour les nouveaux DJs. Le monde de la musique digitale est déjà en route depuis quelques années. C'est celui là qui supplentera le support matériel qu'est le vinyl.
Face à cette évidence, il y aura ce qui existe déjà; des netlabels gratuits et des netlabels payants. On fouillera le gratuit comme on a fouillé des vieux bacs pour trouver ce qui nous semble être de la musique de qualité (le payant étant, en majorité, un gage de qualité).
Les producteurs, quant à eux, ne seront plus dépendant des distributeurs avares de rentabilité; ca sera la nouvelle ère musicale, celle de la re-créativité "pluristylistique". Avec de nouvelles manières de composer, de mixer et de remixer.
Je pense sincèrement que la techno doit abandonner son coté matérialiste pour avancer."
Buy it, use it, break it, fix it,
Trash it, change it, melt - upgrade it,
Charge it, point it, zoom it, press it,
Snap it, work it, quick - erase it,
Write it, cut it, paste it, save it,
Load it, check it, quick - rewrite it,
Plug it, play it, burn it, rip it,
Drag and drop it, zip - unzip it,
Lock it, fill it, curl it, find it,
View it, coat it, jam - unlock it,
Surf it, scroll it, pose it, click it,
Cross it, crack it, twitch - update it,
Name it, rate it, tune it, print it,
Scan it, send it, fax - rename it,
Touch it, bring it, Pay it, watch it,
Turn it, leave it, stop - format it.
Et vous, vous en pensez quoi !?
:arrow:
Pour les plus intéressés d'entre vous, je me permet de copier/coller ma réaction à la question "Quel avenir pour la techno" postée sur une autre communauté spacialisée afin de lancer le débat ici même. Je parle de musique electronique globale, celle qui avance, pas celle qui recule ou qui stagne.
C'est parti...
"Même si ce que je vais écrire parait présomptueux, vous avez le droit de ne pas être d'accord, mais en tout cas, qu'on soit d'accord ou pas; le vinyl est voué à disparaitre. Et même si j'adore ce support, je vois dans cette macabre fin un avenir plus que prometteur.
Depuis quelques années, les labels prennent de moins en moins de risque. Il y a une dizaine d'année, il y avait bon nombre de labels expérimentaux qui annoncaient (ou non) les styles du lendemain. J'ai en tête Sähkö Recordings par exemple, mais il en existe des tas. ( discogs.com )
Au fil des ans, ces labels se sont fait rare à cause de la crise du disque provoquée naturellement par l'après "boom techno" et pour bien d'autres raisons encore. Les distributeurs ont pris peur et se sont moins ouvert à la créativité, préférant miser sur des styles qui leur garantiraient un feedback financier. Voilà ce qui nous à encastré dans des blocs de style.
En gros, l'industrie du vinyl s'est cassé la gueule toute seule et l'émergence des systèmes à la Final Scratch est indéniable. Image Line sort son propre systeme en standalone et en VST pour pas cher et il est compatible avec tout les vinyl timecode du marché. Demain, tout le monde mixera digital avec deux vinyls génériques pour les nostalgiques et des CD pour les nouveaux DJs. Le monde de la musique digitale est déjà en route depuis quelques années. C'est celui là qui supplentera le support matériel qu'est le vinyl.
Face à cette évidence, il y aura ce qui existe déjà; des netlabels gratuits et des netlabels payants. On fouillera le gratuit comme on a fouillé des vieux bacs pour trouver ce qui nous semble être de la musique de qualité (le payant étant, en majorité, un gage de qualité).
Les producteurs, quant à eux, ne seront plus dépendant des distributeurs avares de rentabilité; ca sera la nouvelle ère musicale, celle de la re-créativité "pluristylistique". Avec de nouvelles manières de composer, de mixer et de remixer.
Je pense sincèrement que la techno doit abandonner son coté matérialiste pour avancer."
Buy it, use it, break it, fix it,
Trash it, change it, melt - upgrade it,
Charge it, point it, zoom it, press it,
Snap it, work it, quick - erase it,
Write it, cut it, paste it, save it,
Load it, check it, quick - rewrite it,
Plug it, play it, burn it, rip it,
Drag and drop it, zip - unzip it,
Lock it, fill it, curl it, find it,
View it, coat it, jam - unlock it,
Surf it, scroll it, pose it, click it,
Cross it, crack it, twitch - update it,
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Et vous, vous en pensez quoi !?
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