Dans certaines communes à Bruxelles on a quand même créé de drôles de parcours de vie où on maintient des carrières entières qui ressemblent à ça :
- échecs scolaires
- petite délinquance
- sortie du système scolaire
- vente de stupéfiants (impunité jusqu'à la majorité)
- premières condamnations légères avec sursis (mineurs)
- dépendance de la famille aux revenus issus du trafic
- chômage en parallèle pour optimiser le portefeuille de revenus
- formations collectionnées comme des Pokemons sans déboucher sur une rentrée sur le marché du travail
- une semaine au MacDo "mais c'est trop dur"
- continuité dans la vente de stup' ou passage à des infractions plus lourdes : agressions, braquages, cambriolages, règlements de compte
- condamnations plus lourdes
- passage au CPAS
- alternance entre prison, CPAS, criminalité, petits jobs (souvent comme "éducateur" wink wink) pour réactiver le chomage
Rajoute un mariage arrangé:
1. soit avec une fille venant d'un pays etranger
2. soit avec une fille née ici qui a probablement réussi ses études (statistiquement prouvé que les filles réussissent mieux, surtout dans ce cas-ci) mais qui n'en fera rien car son role est de rester a la maison.
Le cycle de la vie version BXL peut recommencer, il te reste meme pas 30% de la population qui bosse.
Rince and repeat.
La question mnt c'est :
- il faut durcir les sanctions et limiter les aides : à droite
- il faut aider ces profils avec les systèmes pre-cités : à gauche