Ezekiel !
Elite
Le 66 minutes nous propose un super reportage sur ce qui se passe chez nous en début d'année. Ca promet encore de faire dans le sensationnel
! C'est ce soir à 17h20.
Les champions du bizutage
Ce sont des images qu’on ne voit jamais : humiliés, insultés, forcés à marcher sur les genoux, à boire des litres de bières, à mimer l’acte sexuel… Voilà le sort réservé aux « bleus », les nouveaux étudiants. C’est le « baptême », le nom donné au bizutage en Belgique. Là-bas, cette pratique interdite chez nous, est parfaitement acceptée. Et les jeunes Français, nombreux dans les universités belges, sont confrontés chaque année à ces rituels d’un autre âge qui font parfois froid dans le dos. Les séquelles psychologiques et même physiques sont fréquentes. Bien que ces séances d’intégration se déroulent à l’abri des regards, une équipe de 66 minutes a pu s’y introduire discrètement, filmer plusieurs « baptêmes » et rencontrer ceux qui s’en disent victimes.
Charles Empatz
Cette année on a eu plein de soucis à cause de ces journalistes qui arrêtaient pas d'essayer de s'introduire à toutes les activités de baptême depuis qui a eu ce coma à l'adèle.
Mais je pensais pas que ça allait aussi inspirer des putains de journalistes français à aller interviewer les "victimes" du baptême. Je trouve juste ça scandaleux que pour un incident, on généralise et on prenne des pseudos victimes frustrées qui disent tout et n'importe quoi aux journalistes. Après tout le monde va encore nous montrer du doigt et au final le folklore va encore en prendre un coup avec encore plus de restrictions.
Les champions du bizutage
Ce sont des images qu’on ne voit jamais : humiliés, insultés, forcés à marcher sur les genoux, à boire des litres de bières, à mimer l’acte sexuel… Voilà le sort réservé aux « bleus », les nouveaux étudiants. C’est le « baptême », le nom donné au bizutage en Belgique. Là-bas, cette pratique interdite chez nous, est parfaitement acceptée. Et les jeunes Français, nombreux dans les universités belges, sont confrontés chaque année à ces rituels d’un autre âge qui font parfois froid dans le dos. Les séquelles psychologiques et même physiques sont fréquentes. Bien que ces séances d’intégration se déroulent à l’abri des regards, une équipe de 66 minutes a pu s’y introduire discrètement, filmer plusieurs « baptêmes » et rencontrer ceux qui s’en disent victimes.
Charles Empatz
Cette année on a eu plein de soucis à cause de ces journalistes qui arrêtaient pas d'essayer de s'introduire à toutes les activités de baptême depuis qui a eu ce coma à l'adèle.
Mais je pensais pas que ça allait aussi inspirer des putains de journalistes français à aller interviewer les "victimes" du baptême. Je trouve juste ça scandaleux que pour un incident, on généralise et on prenne des pseudos victimes frustrées qui disent tout et n'importe quoi aux journalistes. Après tout le monde va encore nous montrer du doigt et au final le folklore va encore en prendre un coup avec encore plus de restrictions.