L'humoriste avait lors de l'emission de Laurent Ruquier "On va s'gener", affirmer sa certitude sur le mensonge officiel a propos des evenements du 11 septembre :
Apres 4 jours de buzz médiatique où les réactions tantot ironiques, tantot insultantes et injurieuses des journalistes "professionels" n'ont pas cessé c'est par une dépêche AFP de quelques mots que Jean-Marie Bigard a décidé (sous quelles pressions ?) de faire acte de contrition.
Sommes-nous encore en démocratie lorsque les médias font preuve d'une telle négligence et d'une absence totale d'esprit critique et qu'ils montrent une hargne féroce vis a vis de tous ceux qui ont le malheur d'exprimer une opinion qui ne soit pas estampillé "politiquement correct" sur certains sujets (en augmentation)
À l'heure du quatrième pouvoir, il semblerait que comme dans beaucoup de sports, l'argent et l'opportunisme triomphent de la beauté du geste et de la conscience professionnelle.
Le devoir du journalisme c'est d'assurer un contre-pouvoir, un esprit de veille critique face, certes aux bêtises humaines, mais surtout aux dérives et menaces de la démocratie.
Le devoir du journalisme est d'informer, alors par quelle raison peuvent-ils soutenir de refuser tout doutes, lorsque ceux-ci sont émis, sans chercher l'information justement ? Sans constater qu'elle manque cruellement ? Et d'accepter ces doutes pour mieux chercher a les lever réellement !
Par contre comme à la grande époque stalinienne ou même celle de l'inquisition, le communiqué de repentance de Jean-Marie Bigard est repris par tous les médias français comme le retour à une morale salutaire et la fin d'une incartade devenant très vite dérangeante.
Sacrifié sur l'autel médiatique, le déviant n'a pas d'autre choix que d'abjurer sa pensée dangereusement malfaisante et de promettre qu'il ne parlerait plus JAMAIS de ces événements. Diantre! Il ne fait pas bon aborder ce sujet en place publique: même la célèbre grande gueule capable de remplir le Stade de France et ami proche de Sarkozy, file doux face aux gardiens du temple de la vérité officielle. (soulignons cependant qu'il ne renie en rien ses dires, il est finaud l'animal
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Les Belges autant que les autres d'ailleurs , l'emission de Defossé sur le sujet du 11/09 est un monument de propagande "anti-complotistes" diffamatoire pas d'elements de fond, rien sur les gigantesques incohérences de la version "officielle" mais un florilége de dénonciation des "sources" (3) ou on fait passer tous ces "non-professionels" pour des incapables désinformés et completement manipulés ayant partie liée avec la lie d'extréme droite et ne soutenant les théses d'impostures que par haine de la démocratie, alors que les journalistes, les vrais, eux ils savent, evidement !
On notera que ce sont ces même "jounalistes" qui s'offusque des regimes brimant la liberté de la presse et se dressent en héraults de la liberté d'expression, il semble seulement que ça soit seule la leur, de liberté, qu'ils défendent ! Et apres ça ils s'etonneront de la défiance grandissante du public pour leur "professionalisme" quelque peu versatile.
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Apres 4 jours de buzz médiatique où les réactions tantot ironiques, tantot insultantes et injurieuses des journalistes "professionels" n'ont pas cessé c'est par une dépêche AFP de quelques mots que Jean-Marie Bigard a décidé (sous quelles pressions ?) de faire acte de contrition.
Ainsi, bien au dela du debat de fond, une sourde inquiétude prend naissance : Sommes-nous à ce point dans une société Orwellienne que le crime de pensée soit puni si rapidement ?"Je demande pardon à tout le monde pour les propos que j’ai tenus vendredi dernier... Je ne parlerai plus jamais des évènements du 11 Septembre. Je n'émettrai plus jamais de doutes."
Sommes-nous encore en démocratie lorsque les médias font preuve d'une telle négligence et d'une absence totale d'esprit critique et qu'ils montrent une hargne féroce vis a vis de tous ceux qui ont le malheur d'exprimer une opinion qui ne soit pas estampillé "politiquement correct" sur certains sujets (en augmentation)
À l'heure du quatrième pouvoir, il semblerait que comme dans beaucoup de sports, l'argent et l'opportunisme triomphent de la beauté du geste et de la conscience professionnelle.
Le devoir du journalisme c'est d'assurer un contre-pouvoir, un esprit de veille critique face, certes aux bêtises humaines, mais surtout aux dérives et menaces de la démocratie.
Le devoir du journalisme est d'informer, alors par quelle raison peuvent-ils soutenir de refuser tout doutes, lorsque ceux-ci sont émis, sans chercher l'information justement ? Sans constater qu'elle manque cruellement ? Et d'accepter ces doutes pour mieux chercher a les lever réellement !
Par contre comme à la grande époque stalinienne ou même celle de l'inquisition, le communiqué de repentance de Jean-Marie Bigard est repris par tous les médias français comme le retour à une morale salutaire et la fin d'une incartade devenant très vite dérangeante.
Sacrifié sur l'autel médiatique, le déviant n'a pas d'autre choix que d'abjurer sa pensée dangereusement malfaisante et de promettre qu'il ne parlerait plus JAMAIS de ces événements. Diantre! Il ne fait pas bon aborder ce sujet en place publique: même la célèbre grande gueule capable de remplir le Stade de France et ami proche de Sarkozy, file doux face aux gardiens du temple de la vérité officielle. (soulignons cependant qu'il ne renie en rien ses dires, il est finaud l'animal
Les Belges autant que les autres d'ailleurs , l'emission de Defossé sur le sujet du 11/09 est un monument de propagande "anti-complotistes" diffamatoire pas d'elements de fond, rien sur les gigantesques incohérences de la version "officielle" mais un florilége de dénonciation des "sources" (3) ou on fait passer tous ces "non-professionels" pour des incapables désinformés et completement manipulés ayant partie liée avec la lie d'extréme droite et ne soutenant les théses d'impostures que par haine de la démocratie, alors que les journalistes, les vrais, eux ils savent, evidement !
On notera que ce sont ces même "jounalistes" qui s'offusque des regimes brimant la liberté de la presse et se dressent en héraults de la liberté d'expression, il semble seulement que ça soit seule la leur, de liberté, qu'ils défendent ! Et apres ça ils s'etonneront de la défiance grandissante du public pour leur "professionalisme" quelque peu versatile.
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