« Bravo » au Standard et surtout « bravo » à Anderlecht.
Le sommet tant attendu a plus été un creux qu'autre chose, mais il fallait bien départager les deux équipes, et Anderlecht n'avait définitivement pas envie d'être champion cette année. Peu importe les faits du dernier match, sur l'ensemble de la saison le Sporting a oublié de jouer en conquérant et trop rarement été impressionnant... Trop de points perdus bêtement, et ne parlons même pas de ce match à Tubize, déjà salement révélateur.
Maigre consolation, on vante les prouesses du Standard et la méforme d’Anderlecht, or les deux équipes ont été au coude à coude jusqu’au dernier moment... Le Sporting a donc toujours un putain de noyau et des putains de prétentions (CHAMPIONS, c’est tout, rien à foutre de la seconde place), maintenant il s’agit de rebondir, et vite fait.
Il va falloir en prendre de la graine et déjà se concentrer sur la saison prochaine, répéter ce qu’on a dit l’an passé, qui a été redit après Bate Borisov, et qu’on n’a toujours pas mis en application. En attendant, c’est du gâchis, mais c’est comme ça ; en tous cas, on sera là l’année prochaine et on supportera notre putain de club jusqu’au bout.
A part ça j’ai la tête dans le cul comme pas possible parce que je me suis saoulé de dépit hier soir, et que ce matin je devais débarquer tôt pour coacher une nouvelle jobiste avant une réunion très importante, qui a duré de 9h30 jusqu’à… maintenant. Pas vécu une journée aussi horrible depuis longtemps, très longtemps.
Proficiaat, les Rouges...
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