eyeless
The Gunslinger
Je ne sais pas, mais ça :C'est factuel ou simplement pour la vanne ahaha ?
c'est factuel!Quel sac à m**
Je ne sais pas, mais ça :C'est factuel ou simplement pour la vanne ahaha ?
c'est factuel!Quel sac à m**
Alors concernant ce loustic (j'ai failli écrire blaireau):"Ceux qui veulent de l’air pur et aucun bruit, qu’ils aillent à la campagne, et pas à Bruxelles !"
Serge Litvine, qui est à la tête de grands restaurants bruxellois, estime que "les politiques oublient qu’ils sont au service des citoyens, et pas de leurs fantasmes".www.lalibre.be
Marrant qu'ils parlent de la reprise du Callens, où j'ai fais une grande partie de ma "carrière" dans l'Horeca.Alors concernant ce loustic (j'ai failli écrire blaireau):
Il habite au Luxembourg et d'après ses dires dans une autre interview, il adore passer ses vacances à Capri "car il n'y'a pas de voitures"
Le bruit et la pollution pour les autres ça le dérange pas tant que qu'il n'est pas affecté directement, quoi.
Quel pauvre type
Ils ont l'air de quand même arriver à s'en sortir aux Pays-Bas. J'imagine qu'une vraie infrastructure dédiée aide pas malL'hiver c'est pas un soucis quand t'es en vélo. Pour moi c'est bien la pluie. Je vais principalement en vélo au travail mais quand il pleut (trop) c'est juste pas possible même si t'es bien équipé. Alors j'ose pas imaginer ceux avec des enfants etc..
Mouais. Tout le monde n’aime pas la promiscuité hin. Pr certains (bcp) le « luxe » c’est de pouvoir vivre loin des autres.Il faut aussi modifier le régime des voitures de société, sans ça les mentalités ne bougeront jamais.
"
La raison ? Mais nous venons à l’instant de la voir : on a éclaté les agglomérations en interminables banlieues autoroutières, car c’était le seul moyen d’éviter la congestion véhiculaire des centres d’habitation. Mais cette solution a un revers évident : les gens, finalement, ne peuvent circuler à l’aise que parce qu’ils sont loin de tout. Pour faire place à la bagnole, on a multiplié les distances : on habite loin du lieu de travail, loin de l’école, loin du supermarché - ce qui va exiger une deuxième voiture pour que la « femme au foyer » puisse faire les courses et conduire les enfants à l’école. Des sorties ? Il n’en est pas question. Des amis ? Il y a des voisins… et encore. La voiture, en fin de compte, fait perdre plus de temps qu’elle n’en économise et crée plus de distances qu’elle n’en surmonte. Bien sûr, vous pouvez vous rendre à votre travail en faisant du 100 km/h ; mais c’est parce que vous habitez à cinquante kilomètres de votre job et acceptez de perdre une demi-heure pour couvrir les dix derniers kilomètres. Bilan : « Les gens travaillent une bonne partie de la journée pour payer les déplacements nécessaires pour se rendre au travail » (Ivan Illich).
Vous direz peut-être : « Au moins, de cette façon, on échappe à l’enfer de la ville une fois finie la journée de travail. » Nous y sommes : voilà bien l’aveu. « La ville » est ressentie comme « l’enfer », on ne pense qu’à s’en évader ou à aller vivre en province, alors que, pour des générations, la grande ville, objet d’émerveillements, était le seul endroit où il valût la peine de vivre. Pourquoi ce revirement ? Pour une seule raison : la bagnole a rendu la grande ville inhabitable. Elle l’a rendu puante, bruyante, asphyxiante, poussiéreuse, engorgée au point que les gens n’ont plus envie de sortir le soir. Alors, puisque les bagnoles ont tué la ville, il faut davantage de bagnoles encore plus rapides pour fuir sur des autoroutes vers des banlieues encore plus lointaines. Impeccable circularité : donnez-nous plus de bagnoles pour fuir les ravages que causent les bagnoles."
L’idéologie sociale de la bagnole
Un texte d'André Gorz datant de 1973, qui invite à « ne jamais poser le problème du transport isolément, toujours le lier au problème de la ville, de la division sociale du travail et de la (...)larotative.info
Dans un monde avec des lignes de trains/métro qui desservent les villages/petites villes depuis les grandes, tu peux être à l'écart de la ville sans voiture.Mouais. Tout le monde n’aime pas la promiscuité hin. Pr certains (bcp) le « luxe » c’est de pouvoir vivre loin des autres.
L’enfer de la ville ce n’est pas les voitures, c’est le monde (pr moi).
La voiture a donc permis aux gens d’avoir leur besoin de calme et de paix tout en n’étant pas exclu du monde du travail.
Le futur ce n’est pas (pr moi) les transports en commun mais les transports autonomes partagés. « Car as a service »
Pour le corps ça va, une bonne veste de pluie & sur pantalon Décathlon ça fait super bien le taff je trouve, par contre le soucis c'est les yeux, je vois rienL'hiver c'est pas un soucis quand t'es en vélo. Pour moi c'est bien la pluie. Je vais principalement en vélo au travail mais quand il pleut (trop) c'est juste pas possible même si t'es bien équipé. Alors j'ose pas imaginer ceux avec des enfants etc..
Ouais l'infra est au top la bas, c'est vraiment plaisant de rouler en vélo, mais bon ça s'est pas fait en 2 jours, et ils ont aussi eu leurs problèmes à l'époque.Ils ont l'air de quand même arriver à s'en sortir aux Pays-Bas. J'imagine qu'une vraie infrastructure dédiée aide pas mal
Pourquoi ? On voit le retour du RER en France comme à StrasbourgCa aurait été intenable de maintenir le réseau vicinal.
Let’s agree to disagree.Dans un monde avec des lignes de trains/métro qui desservent les villages/petites villes depuis les grandes, tu peux être à l'écart de la ville sans voiture.
C'est parce qu'on a démantelé ces réseaux là que la voiture apparaît aujourd'hui comme la seule possibilité pour vivre hors de la ville.
Pour les car as a service, c'est un concept intéressant, mais ça ne peut pas être utilisé quotidiennement par tout le monde (trop de demande par rapport à l'offre, il faudrait une voiture par usager). Pour de l'usage ponctuel type excursion le week-end ça colle par contre effectivement.
Passer de 1h à 3h ça me paraît quand même assez violent, mais je comprends avec les retards SNCB et la faible fréquence des trains.Let’s agree to disagree.
Gare de Braine l’Alleud - Gare de Gastuche: 1h30. En voiture 40’.
Gare de Braine l’Alleud - Berchem-Anvers: 1h. En voiture 1h. Là on peut se dire y’a match. Sauf qu’en vrai tu dois être là au moins 10’ avant ton train pr être à l’aise, les départs ne coïncident pas forcément avec ton planning, et t’as les imprévus/retards. Résultat entre la fin de mon rdv à Anvers et mon arrivée chez moi: 3h. En voiture 1h tjr.
Ça reste à confirmer, on a vu les embouteillages dans le tunnel de MuskEt la voiture autonome fonctionnerait à mon avis. Il en faudrait bcp certes mais elles seraient toutes connectées donc gestion du trafic optimale. Le problème du trafic ce n’est pas tant la densité que la variation de vitesse. Si toutes connectées elles peuvent rouler avec 10cm d’écart en permanence entre elles.
Parce que les investissements publics sont gérés n'importe comment.On a déjà du mal à maintenir certaines lignes et stations SNCB et à finaliser un RER.