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Somewhere else ...
The Economist le suggérait dans un éditorial voilà un mois : “Loin d’enrayer la criminalité, la prohibition a fait prospérer le banditisme”. On considère qu’il y a environ 6 800 décès chaque année en Europe liés à la drogue (principalement l’héroïne ou la polytoxicomanie). La dépénalisation de la “beuh”, autrement dit du cannabis, n’alourdirait pas ce chiffre, mais permettrait de dégager des marges de manœuvre financières. Voilà une vraie réforme libérale.
Les États-Unis d'Amérique dépensent chaque année $ 40 milliards pour la répression et la prohibition des drogues pour un résultat en statut quo. A côté de ça les Pays-Bas récupère 400 millions en impôts chaque année pour l'unique vente contrôlée de Cannabis.
Loin d'être pro-drogues le Courrier International réunit des articles de tous les horizons autour d'une discussion sérieuse : la lutte anti-drogue.
Parmi toutes les solutions la légalisation semble être la moins mauvaise, la moins coûteuse et la plus pragmatique. La lutte anti-drogue tourne en rond ; à chaque trafiquant arrêté, dix autres prennent la relève.
Cependant il ne faut pas se voiler la face, la légalisation ferait augmenter le nombre de consommateurs , n'éradiquerais pas tous les narco trafiquants et les filières illégales. Elle permettrait de réunir des fonds pour soigner les malades , leur distribuer des seringues "propres" , les prendre en charge. La concurrence, le libre échange, les contrôles de qualité doneront des drogues non coupées de plus grande qualité, et à un prix équilibré pour ne pas favoriser le marché noir ni augmenter trop fortement la consommation.
Il n'y a pas de bonne solution mais la prohibition a montré ses limites. En 1998 , le monde se réunissait pour se débarrasser des drogues ou en baisser le trafic significativement pour 2008 ...

Les États-Unis d'Amérique dépensent chaque année $ 40 milliards pour la répression et la prohibition des drogues pour un résultat en statut quo. A côté de ça les Pays-Bas récupère 400 millions en impôts chaque année pour l'unique vente contrôlée de Cannabis.
Loin d'être pro-drogues le Courrier International réunit des articles de tous les horizons autour d'une discussion sérieuse : la lutte anti-drogue.
Parmi toutes les solutions la légalisation semble être la moins mauvaise, la moins coûteuse et la plus pragmatique. La lutte anti-drogue tourne en rond ; à chaque trafiquant arrêté, dix autres prennent la relève.
Cependant il ne faut pas se voiler la face, la légalisation ferait augmenter le nombre de consommateurs , n'éradiquerais pas tous les narco trafiquants et les filières illégales. Elle permettrait de réunir des fonds pour soigner les malades , leur distribuer des seringues "propres" , les prendre en charge. La concurrence, le libre échange, les contrôles de qualité doneront des drogues non coupées de plus grande qualité, et à un prix équilibré pour ne pas favoriser le marché noir ni augmenter trop fortement la consommation.
Il n'y a pas de bonne solution mais la prohibition a montré ses limites. En 1998 , le monde se réunissait pour se débarrasser des drogues ou en baisser le trafic significativement pour 2008 ...