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Ces trente dernières années, la part des 1 % les plus riches dans le total des revenus avant impôts a progressé dans la plupart des pays de l'OCDE. Sur cette période, les 1 % de la population aux revenus les plus élevés ont en effet capté une part disproportionnée de la progression globale des revenus : jusqu’à 37 % au Canada et 47 % aux États-Unis selon une nouvelle analyse de l'OCDE.
http://www.oecd.org/fr/social/les-h...nte-du-revenu-total-dans-de-nombreux-pays.htm
Les réformes fiscales menées dans la quasi-totalité des pays de l'OCDE au cours des trente dernières années ont conduit à une baisse significative des taux supérieurs de l’impôt sur le revenu des personnes physiques, le taux moyen dans la zone OCDE étant passé de 66 % en 1981 à 43 % en 2013. Or cette réduction est étroitement associée à la hausse de la part des hauts revenus dans le total des revenus. D’autres impôts importants pour les plus hauts revenus ont aussi été revus à la baisse : le taux légal moyen de l’impôt sur les bénéfices des sociétés a reculé de 47 % à 25 % et les impôts sur les dividendes au titre des bénéfices d’origine nationale ont baissé de 75 % à 42 %
« Sans une action concertée des pouvoirs publics, l’écart entre riches et pauvres devrait continuer de se creuser au cours des prochaines années », explique Angel Gurría, Secrétaire général de l'OCDE. « C’est pourquoi il est capital de veiller à ce que les plus hauts revenus acquittent une juste part de l’impôt ».
http://www.oecd.org/fr/social/les-h...nte-du-revenu-total-dans-de-nombreux-pays.htm
Les réformes fiscales menées dans la quasi-totalité des pays de l'OCDE au cours des trente dernières années ont conduit à une baisse significative des taux supérieurs de l’impôt sur le revenu des personnes physiques, le taux moyen dans la zone OCDE étant passé de 66 % en 1981 à 43 % en 2013. Or cette réduction est étroitement associée à la hausse de la part des hauts revenus dans le total des revenus. D’autres impôts importants pour les plus hauts revenus ont aussi été revus à la baisse : le taux légal moyen de l’impôt sur les bénéfices des sociétés a reculé de 47 % à 25 % et les impôts sur les dividendes au titre des bénéfices d’origine nationale ont baissé de 75 % à 42 %
« Sans une action concertée des pouvoirs publics, l’écart entre riches et pauvres devrait continuer de se creuser au cours des prochaines années », explique Angel Gurría, Secrétaire général de l'OCDE. « C’est pourquoi il est capital de veiller à ce que les plus hauts revenus acquittent une juste part de l’impôt ».