À l'époque où ces études se fractionnaient en 2 candis et 3 grades, j'avais hésité entre l'Ulb et l'Ulg. On racontait qu'un mécanicien (ou électromécanicien) de l'une ou l'autre de ces facultés avait des compétences différentes. L'Ulbiste concevait parfaitement tout un circuit hydraulique, tandis que le Liégeois était expert dans la seule turbine... Image sans doute (très) simpliste. Quoiqu'il en soit, ingénieur civil des constructions (à 22 ans), mon prof de béton armé et précontraint (de l'époque...) m'avait recommandé de poursuivre ma formation au MIT. Ce que je fis (2 ans à étudier des algorithmes en complexité de Kolmogorov...). En réalisant par après, au contact d'autres ingénieurs issus de très grande écoles (Centrale, Mines, X, etc), que la formation dispensée à l'Ulb est d'un top-niveau (et, en tout cas, une base très solide pour aborder un 3ème cycle dans, sans doute, la meilleure et la plus prestigieuse école d'ingénieurs qui soit.