beankiller
Riz Jaune
Hello, voilà vu que nous vivons dans une société d’hyper consommation à 3000%, j’aimerais connaître vos avis sur notre société capitaliste, mais tout d’abord : une "petite présentation" du sujet :
Définition :
Capitalisme : système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. Le capitalisme se caractérise par la recherche du profit, l’initiative individuelle et la concurrence entre entreprises.)
source : Le petit Larousse (1992)
L’histoire du capitalisme :
Beaucoup d'institutions caractéristiques du capitalisme existaient déjà dans l'Antiquité: commerce, prêts et assurances étaient monnaie courante chez les Grecs et les Romains. Cependant, le capitalisme comme système économique n'est apparu qu'à la fin du Moyen Age, en Europe. Il s'est développé, du XIV e au XVIII e siècle, parallèlement à la croissance du commerce international - surtout après la découverte des Amériques -, à l'essor des banques et à l'émergence d'une classe d'hommes d'affaires qui ont accumulé des sommes d'argent considérables.
Au XVII e et plus encore au XVIII e siècle, les classes montantes de commerçants et d'industriels, bientôt appelées bourgeoisie, réclament un ordre politique nouveau qui réponde à leurs intérêts économiques.
Le XIX e siècle est une période de croissance économique sans précédent. La révolution industrielle transforme la société, d'abord en Grande-Bretagne, puis en France, en Allemagne et dans toute l'Europe occidentale, enfin aux Etats-Unis. A la fin du siècle, l'essentiel de la population active travaille dans des usines ou des bureaux. De grandes villes industrielles apparaissent; des syndicats et des partis politiques se forment, qui défendent les intérêts du prolétariat face aux propriétaires des moyens de production. Karl Marx et Friedrich Engels lancent les attaques les plus virulentes contre le capitalisme comme forme d'exploitation de l'homme par l'homme; leurs écrits deviennent la référence intellectuelle du socialisme et du communisme européens.
Un phénomène que les premiers théoriciens du capitalisme n'avaient pas prévu apparaît à la fin du XIX e siècle: la tendance à l'accroissement continu des dimensions des entreprises. Chaque fabrique est tentée de s'agrandir pour atteindre un niveau de production qui lui permette d'abaisser ses coûts unitaires; les affaires commerciales les plus florissantes cherchent à diversifier leurs activités, rassemblant sous le contrôle d'une seule société l'exploitation de moulins, de manufactures et de lignes de chemin de fer, par exemple; enfin, les grandes compagnies s'associent pour former des cartels ou des trusts, ce qui leur permet d'exercer un véritable monopole sur de larges secteurs de l'industrie : les limites du capitalisme apparaissent pour aboutir finalement à la crise économique de 1929.
La surproduction industrielle, la spéculation boursière, l'endettement généralisé et la persistance de la crise de l'agriculture firent plonger le pays dans le chaos. A la mi-octobre 1929, l’annonce de la baisse des bénéfices des industries poussèrent les spéculateurs à vendre leurs actions pendant que le cours de Wall street était encore élevé. Cette vente entraîna une chute encore plus rapide des actions et bientôt la panique s’empara de tous. L’apogée de ce phénomène se situe donc dans la journée du 24 octobre où plus de 16 millions de titres seront bradés sur le marché, sans trouver toutefois preneur. Bientôt des centaines de milliers d’actionnaires se trouvèrent ruinés ; les banques ne purent se faire rembourser leurs crédits et les épargnants retirèrent leur argent de leurs comptes ; un grand nombre de banques n’ayant pas les moyens de rembourser, leurs clients firent faillites
(Pour résoudre cette crise, le président fraîchement élu Franklin Roosevelt lança le New Deal, qui prônait entre autres, une participation active de l’Etat ainsi qu’une augmentation des infrastructures pour lutter activement contre le très haut taux de chômage.)
Après la seconde guerre mondiale, l’économie se remet en marche très rapidement et de façon exponentielle = La Belle Epoque, jusqu’aux premières crises pétrolières de 1973.
sources : Memo.fr
yrub.com
wiki
Le capitalisme aujourd’hui
Et qu’en est il aujourd’hui ? Et bien on est en plein dedans, il suffit d’allumer votre TV ou de surfer sur le net pour voir qu’on essaie de vous vendre tout et n’importe quoi.
Et j’en arrive au but de ce post : à savoir un « débat » (même si ça risque d’être dur :x). J’aimerais connaître votre avis sur la société actuelle, mais aussi dans le futur : pensez vous que le capitalisme soit vivable à long terme ? Quel(s) système(s) politico-économique(s) pourraient le remplacer ?
J’aimerais surtout que vous axiez vos réponses sur ce qui ne va pas dans le système actuel et les solutions envisageables selon vous, et donc ce que cela implique.
PS : si vous voulez cracher sur le système actuel, faites le de manière civilisée et intelligente : proposez des solutions, argumentez, bref ne vous contentez pas de dire « oué le capitalisme ça pue ».
PS² : si certains points du post vous semblent obscurs ou que vous pensez qu’il serait bon d’ajouter certaines choses au post, faites le moi savoir, merci.
Définition :
Capitalisme : système économique et social fondé sur la propriété privée des moyens de production et d’échange. Le capitalisme se caractérise par la recherche du profit, l’initiative individuelle et la concurrence entre entreprises.)
source : Le petit Larousse (1992)
L’histoire du capitalisme :
Beaucoup d'institutions caractéristiques du capitalisme existaient déjà dans l'Antiquité: commerce, prêts et assurances étaient monnaie courante chez les Grecs et les Romains. Cependant, le capitalisme comme système économique n'est apparu qu'à la fin du Moyen Age, en Europe. Il s'est développé, du XIV e au XVIII e siècle, parallèlement à la croissance du commerce international - surtout après la découverte des Amériques -, à l'essor des banques et à l'émergence d'une classe d'hommes d'affaires qui ont accumulé des sommes d'argent considérables.
Au XVII e et plus encore au XVIII e siècle, les classes montantes de commerçants et d'industriels, bientôt appelées bourgeoisie, réclament un ordre politique nouveau qui réponde à leurs intérêts économiques.
Le XIX e siècle est une période de croissance économique sans précédent. La révolution industrielle transforme la société, d'abord en Grande-Bretagne, puis en France, en Allemagne et dans toute l'Europe occidentale, enfin aux Etats-Unis. A la fin du siècle, l'essentiel de la population active travaille dans des usines ou des bureaux. De grandes villes industrielles apparaissent; des syndicats et des partis politiques se forment, qui défendent les intérêts du prolétariat face aux propriétaires des moyens de production. Karl Marx et Friedrich Engels lancent les attaques les plus virulentes contre le capitalisme comme forme d'exploitation de l'homme par l'homme; leurs écrits deviennent la référence intellectuelle du socialisme et du communisme européens.
Un phénomène que les premiers théoriciens du capitalisme n'avaient pas prévu apparaît à la fin du XIX e siècle: la tendance à l'accroissement continu des dimensions des entreprises. Chaque fabrique est tentée de s'agrandir pour atteindre un niveau de production qui lui permette d'abaisser ses coûts unitaires; les affaires commerciales les plus florissantes cherchent à diversifier leurs activités, rassemblant sous le contrôle d'une seule société l'exploitation de moulins, de manufactures et de lignes de chemin de fer, par exemple; enfin, les grandes compagnies s'associent pour former des cartels ou des trusts, ce qui leur permet d'exercer un véritable monopole sur de larges secteurs de l'industrie : les limites du capitalisme apparaissent pour aboutir finalement à la crise économique de 1929.
La surproduction industrielle, la spéculation boursière, l'endettement généralisé et la persistance de la crise de l'agriculture firent plonger le pays dans le chaos. A la mi-octobre 1929, l’annonce de la baisse des bénéfices des industries poussèrent les spéculateurs à vendre leurs actions pendant que le cours de Wall street était encore élevé. Cette vente entraîna une chute encore plus rapide des actions et bientôt la panique s’empara de tous. L’apogée de ce phénomène se situe donc dans la journée du 24 octobre où plus de 16 millions de titres seront bradés sur le marché, sans trouver toutefois preneur. Bientôt des centaines de milliers d’actionnaires se trouvèrent ruinés ; les banques ne purent se faire rembourser leurs crédits et les épargnants retirèrent leur argent de leurs comptes ; un grand nombre de banques n’ayant pas les moyens de rembourser, leurs clients firent faillites
(Pour résoudre cette crise, le président fraîchement élu Franklin Roosevelt lança le New Deal, qui prônait entre autres, une participation active de l’Etat ainsi qu’une augmentation des infrastructures pour lutter activement contre le très haut taux de chômage.)
Après la seconde guerre mondiale, l’économie se remet en marche très rapidement et de façon exponentielle = La Belle Epoque, jusqu’aux premières crises pétrolières de 1973.
sources : Memo.fr
yrub.com
wiki
Le capitalisme aujourd’hui
Et qu’en est il aujourd’hui ? Et bien on est en plein dedans, il suffit d’allumer votre TV ou de surfer sur le net pour voir qu’on essaie de vous vendre tout et n’importe quoi.
Et j’en arrive au but de ce post : à savoir un « débat » (même si ça risque d’être dur :x). J’aimerais connaître votre avis sur la société actuelle, mais aussi dans le futur : pensez vous que le capitalisme soit vivable à long terme ? Quel(s) système(s) politico-économique(s) pourraient le remplacer ?
J’aimerais surtout que vous axiez vos réponses sur ce qui ne va pas dans le système actuel et les solutions envisageables selon vous, et donc ce que cela implique.
PS : si vous voulez cracher sur le système actuel, faites le de manière civilisée et intelligente : proposez des solutions, argumentez, bref ne vous contentez pas de dire « oué le capitalisme ça pue ».
PS² : si certains points du post vous semblent obscurs ou que vous pensez qu’il serait bon d’ajouter certaines choses au post, faites le moi savoir, merci.